Pratiquer la respiration profonde pour une vie simple et sans stress [Article invité]

J’ai le plaisir aujourd’hui d’accueillir Malick du blog Zero Douleur, pour un article invité… inspirant. Bonne lecture ! 🙂


En lisant cet article, vous respirez.

Bien sûr, c’est normal, la respiration est essentielle à la vie. Mais lorsque vous avez des soucis ou du stress à répétition, comment respirez-vous ?

De façon saccadée, car vous êtes étouffés par vos peurs et vos problèmes, et vous ne voyez aucune issue. En pratiquant la respiration profonde, vous allez apprendre à vous libérer de ses tensions et à garder votre esprit et votre corps en bonne santé.

La respiration un mouvement essentiel, mais mal maitrisé.

La respiration est un réflexe qui se met en place dès la naissance. Vous n’avez pas à y penser à chaque instant, car elle fait partie des schémas naturels du corps automatisé par le cerveau.

Prenez un instant, asseyez-vous confortablement et comptez combien de fois vous respirez en une minute.

Si vous respirez plus de 13 fois, c’est trop… Si vous respirez entre 6 et 10 fois par minute, c’est amplement suffisant.

Quand vous respirez plus de 10 fois par minute, cela signifie que votre corps est en état d’alerte et prêt à passer à l’action. Votre respiration est donc incompatible avec le fait que vous êtes assis tranquillement sur une chaise.

Pourquoi respirez-vous de cette manière ?

Le stress de notre société, les traumatismes et les frustrations sont les raisons de votre manière de respirer. Vous respirez alors de manière saccadée, avec la partie haute de la cage thoracique. C’est une respiration que l’on voit chez les personnes stressées, car elles sont sur la défensive. En effet, lorsque vous êtes stressés, votre corps est en alerte, ce qui augmente la tension musculaire et votre anxiété.

Les mauvaises habitudes respiratoires peuvent entraîner de nombreux effets indésirables inattendus sur votre santé.

Les problèmes les plus importants sont :

  • Les cellules prennent moins d’oxygène
  • Des maux de tête
  • Augmentation des tensions corporelles
  • Fatigue générale
  • Du stress

Qu’est-ce que la respiration profonde ?

L’acte de respirer engage le diaphragme, un muscle large et mince qui sépare la poitrine de l’abdomen.

Tout d’abord, il y a la phase d’inspiration. Vous inspirez par le nez, le diaphragme descend vers le bas, en tirant vos poumons et en appuyant contre les organes abdominaux pour permettre à vos poumons de se dilater lorsqu’ils se remplissent d’air.

Puis la phase d’expiration : vous expirez, le diaphragme remonte vers le haut contre vos poumons, aidant à expulser le dioxyde de carbone.

C’est la manière la plus saine et la plus efficace de respirer, de plus cela apporte un effet relaxant sur votre corps. Si la respiration profonde peut vous paraitre non naturelle, regardez les bébés. Comment respirent-ils ?

Par le ventre. Nous apprenons dès la naissance à respirer de la meilleure façon, mais plus les années passent et plus nous perdons cette habitude.

Bienfaits de la respiration profonde

De nos jours, il y a un intérêt croissant pour avoir une respiration correcte. De plus en plus de médecins et de psychologues recommandent de pratiquer le travail de respiration pour ses nombreux bienfaits.

Un cœur en meilleure santé

Votre cœur bat environ 100 000 fois par jour, c’est un gros consommateur d’oxygène. Si vous ne respirez pas efficacement, votre cœur ne pourra donc pas pomper le sang aussi efficacement, ce qui peut entraîner de l’hypertension.
Selon une étude japonaise, pratiquer la respiration profonde peut aider à baisser la pression artérielle, ce qui réduit aussi le risque de maladies cardiovasculaires.

Les chercheurs ont trouvé que la pression artérielle avait fortement diminué après avoir fait 6 répétitions de respiration profonde de 30 secondes (Source).

Meilleure gestion du stress

Le stress est un facteur important pour le développement de nombreuses maladies tel que les maladies cardiovasculaires, le cancer, l’arthrite et la dépression.

La respiration peut vous aider à vous calmer, c’est que nous montre une étude faite auprès de musiciens qui avaient une représentation importante à jouer. En pratiquant des techniques de respiration pendant 30 minutes avant leur représentation, leur fréquence cardiaque diminuait, ce qui les rendait également moins stressés et moins tendus qu’auparavant. (Source)

En une seule séance de respiration profonde, vous pouvez réduire votre stress. Vous pouvez également consulter mon dossier complet pour apprendre à éliminer votre stress dans n’importe quelle situation.

Soulage les douleurs chroniques

Si vous souffrez de douleurs chroniques, pratiquer une respiration plus lente peut avoir un effet thérapeutique. En effet, l’apport accru d’oxygène va détendre les muscles qui se contractent à la suite de la douleur, ce qui aggrave la douleur elle-même.

Une étude faite par l’Université de Regensburg en Allemagne a montré que la respiration profonde permettait de mieux gérer la douleur (Source).

Vous allez réduire l’intensité de la douleur, afin qu’elle soit plus confortable à vivre au quotidien. N’hésitez pas à consulter mon guide pour apprendre à dissiper vos douleurs chroniques.

Meilleur sommeil

Vous arrive-t-il d’avoir du mal à dormir ? Vous avez essayé de compter tous les moutons du coin et vous êtes toujours éveillé ? Vous avez surement des pensées qui vous perturbent l’esprit.

Lorsque vous pratiquez la respiration profonde au lit, vous donnez au corps la permission d’arrêter d’être en état d’alerte et, au contraire, de vous détendre.
Vous forcez ainsi votre esprit à se concentrer sur une tâche unique à accomplir, respirer. Parfois cela peut être suffisant pour s’endormir.

Comment pratiquer la respiration profonde 10 min par jour

La respiration profonde c’est simple, il n’y a rien de compliqué. La seule chose que vous avez besoin durant la pratique c’est votre concentration.

  1. Allongez-vous sur le dos
  2. Placer une main sur votre ventre et l’autre main sur votre poitrine
  3. Prenez une inspiration par le nez pour remplir vos poumons et gonfler votre ventre. La main qui est sur votre ventre doit être plus élevée que celle de la poitrine. Ceci assure que le diaphragme tire l’air dans les bases des poumons. Attention l’inspiration ne doit pas être forcée, le but n’est pas de tester vos limites et de remplir au maximum vos poumons. Inspirez naturellement.
  4. Expirez ensuite lentement par le nez, vous devez sentir votre ventre se relâcher.
  5. Faites une pause de quelques secondes
  6. Et repartez vers un nouveau cycle.

Vous devez essayer d’avoir une respiration complète (inspiration et une expiration) qui dure environ 10 secondes, cela vous donnera 6 respirations par minute. Au bout de 10 minutes, vous devriez effectuer entre 60 et 70 cycles.

La respiration profonde se fait normalement par le nez comme en yoga, néanmoins si vous avez des difficultés et que cela ne vous met pas dans un état de relaxation, vous pouvez opter pour une expiration par la bouche. C’est tout aussi efficace.

Conclusion

En pratiquant des exercices de respiration, vous améliorez la façon dont vous inspirez et expirez avec votre diaphragme. En changeant votre manière de respirer et en ayant des pensées positives, vous aurez un meilleur contrôle sur votre vie.

Sources additionnelles :
The Way of The Iceman: How The Wim Hof Method Creates Radiant Longterm Health–Using The Science and Secrets of Breath Control, Cold-Training and Commitment

 

 

 


Merci Malick ! Je vous invite une dernière fois à visiter son blog Zero Douleur pour découvrir ses autres conseils. 🙂

Et je conseille aussi toutes les personnes cherchant à apaiser leurs douleurs et/ou à réduire leur stress à faire connaissance avec l’algue bleu-vert de Klamath aux propriétés formidables (cliquez ici).

[VEGAN & JEUNE INTERMITTENT] Ce que je mange en UNE SEMAINE

 

Ressources en rapport à la vidéo :

Mon petit bilan

Alors tout d’abord je ne me rendais pas compte que je mangeais autant d’oléagineux ! Ce n’est pas mal en soit, mais c’est très calorique, et aussi peu éonomique. Je pourrais ralentir dessus.

Je suis satisfait en revanche de ma façon de raccomoder les restes de façons agréables. Pas de gaspillage, tout en plaisir !

En parlant de gaspillage, je mange tout de même beaucoup en vrac finalement. Même sans être « zéro déchet », je pense avoir fait du vrac une base quotidienne normale.

Pour finir, je pensais que tout filmer m’encouragerait à manger moins de sucres et chocolat, ce n’est pas le cas… j’ai mangé 3 fois de la pâte à tariner en 7 jours ! 🙁

Il faut croire que j’ai trop appris à faire fi du regard d’autrui

Et vous, qu’en avez-vous pensé ?

Cela vous a-t’il inspiré d’en faire autant pour analyser vos habitudes ? 🙂

Tout ce que j’ai mangé cette semaine :

Dimanche :

  • Une poire
  • Des pâtes avec un reste de salade verte
  • Lentilles et saucisses véganes
  • Lait de soja
  • Banane, pâte à tartiner, amandes
  • Compléments alimentaires

Lundi :

  • Vinaigre de cidre et citron chaud
  • 2 mugs de café noir, 1 Aspirine 100 mg
  • Huel
  • Compléments alimentaires
  • 1 abricot sec
  • 1 noix du Brésil
  • Flageolets, riz

Mardi :

  • Vinaigre de cidre et citron chaud
  • 2 mugs de café noir, 1 Aspirine 100 mg
  • Huel
  • Compléments alimentaires
  • Flageolets, riz, faumesan (restes)
  • Patate douce et chou romanesco vapeur, lentilles verte, flageolets

Mercredi :

  • Vinaigre de cidre et citron chaud
  • 2 mugs de café noir, 1 Aspirine 100 mg
  • Huel
  • Compléments alimentaires
  • 2 tartines de terrine de champignon
  • Patate douce et chou romanesco vapeur, riz complet, flageolets
  • 3 abricots secs

Jeudi :

  • Vinaigre de cidre et citron chaud
  • 2 mugs de café noir, 1 Aspirine 100 mg
  • « Gloubiboulga au fruits » : Huel, yahourt de riz, pomme, orange, abricots secs, noix du Brésil, amandes
  • Curry de restes : patate douce, chou romanesco, flageolets, riz
  • Huel et pâte à tartiner fondue, graines de sésame, noix de cajou, amandes

Vendredi :

  • Vinaigre de cidre et citron chaud
  • 1 mug de thé vert matcha
  • Pomme
  • Compléments alimentaires
  • Huel
  • Mélange oléagineux curry curcuma
  • Riz, flageolets, tempeh, chou romanesco cru
  • Un « tiramisu » vegan

Samedi :

  • Vinaigre de cidre et citron chaud
  • 1 mug de thé vert matcha
  • Anona/Cherimoya (le fruit qui ressemble à un petit corrossol)
  • Kéfir de fruit
  • Compléments alimentaires
  • Porridge flocons d’avoine, cacao en poudre, Huel, lait de soja, noix de cajou, amandes, cannelle, pâte à tartiner
  • Chips industrielles au vinaigre
  • Falafel frites

Tu as du mal à devenir végé ? Voici 4 choses que je DOIS te dire.

Résumé : persévère à faire tes recherches sur le sujet et le déclic se fera naturellement.

L’association L214 a posé aujourd’hui quelques stands d’informations au centre-ville sur le véganisme.

Un monsieur à coté de moi discute avec une militante :

« J’essaie de ralentir la viande. Je fais des efforts. Mais c’est dur. C’est bon la bonne viande… »

A supposer que ce monsieur est honnête dans sa démarche et désire vraiment avancer sur la voie du végétarisme/végétalisme/véganisme, voici ce que j’aurais dû lui dire :

#1 – Tu es sur la bonne voie

Dans un monde ou la plupart des gens n’ont rien à péter de la souffrance qu’ils infligent et de l’avenir de la planète, il est crucial de féliciter et d’encourager avec bienveillance ceux qui ont le mérite de se remettre en question.

Bien sûr que je te souhaite de devenir vegan du jour au lendemain, mais si ce n’est pas possible et que tu y vas « à ton rythme », je ne peux que te dire « bravo ».

Après tout, moi aussi je ne suis pas devenu immédiatement vegan quand j’ai eu mon premier déclic. Je suis passé par 3 mois de végétarisme… et plus de 32 ans de carnisme !

Je suis bien mal placé pour me la jouer inquisiteur.

#2 – Changer ne dépend que de toi

Si tu attends que moi, tes amis ou le monde te pousse à changer tes habitudes, je suis désolé, mais ça n’arrivera jamais, ou ça ne durera pas longtemps.

La seule motivation qui tienne est intrinsèque, c’est celle qui se développe de l’intérieur.

Voici comment la développer :

#3 – Ne ferme pas les yeux !

C’est le point-clé : si tu n’as pas encore changé, c’est parce que tu ne t’es pas encore assez renseigné.

Si tu n'es pas encore #vegan c'est juste que tu ne t'es pas encore assez renseigné. Cliquez pour tweeter

Malgré tout ce que tu me diras, c’est la stricte vérité.

Tu as beau avoir vu plusieurs vidéos d’abattoirs, plusieurs documentaires (en espérant que tu aies au moins vu Terriens et Cowspiracy, c’est la base), lu plusieurs articles… mais si tu n’as pas eu le déclic, c’est parce qu’il te manque peut-être UNE donnée, UNE phrase, UNE image… pas forcément la plus gore d’ailleurs.

Je t’encourage donc à continuer à t’informer, à faire toi-même tes recherches, régulièrement, à lire et te poser des questions.

Je sais, ça prends du temps, et de l’énergie.

Voilà pourquoi je ne te conseille pas forcément de te forcer à changer tes habitudes, mais à déplacer cette discipline que tu t’infliges, en vain semble-t’il, dans du temps alloué à de la recherche active.

Un peu moins de Facebook, de séries, de sortie ou de jeu vidéo, pour un peu plus de temps pour t’informer.

Tu ne le regretteras pas.

Je ne l’ai pas regretté.

#4 – Fais la connexion

Inspiré par la méthode Allen Carr (du moins ce que j’en sais), je t’invite ensuite à être en pleine conscience quand tu manges des produits d’origine animale.

Savoure lentement, délibérément ce que tu mets dans ta bouche et réalise, pendant ton repas, rappelle-toi tout ce que tu as appris… que :

  • Ce steak est un morceau de chair morte, de tendons, de veines et d’os, extraits par la torture, qui appartenaient à un individu qui désirait vivre.
  • Ce fromage, si addictif, n’est dans cette assiette que parce qu’un bébé veau a été tué pour que l’on puisse prendre son lait. Lait maternel que ton corps n’est pas fait pour assimiler et dont on a cramé le pus et les hormones à coup de pasteurisation.
  • Ces oeufs proviennent de poules génétiquement sélectionnées à travers les années pour être usées jusqu’au bout de leurs vies, survivant tant bien que mal dans des conditions atroces.

Si vraiment tu fais cette démarche de continuer à t’éduquer sur les conditions et l’impact de ta consommation de produits animaux et que tu es attentif à ce que ton corps te dit lorsque tu en manges, je te promets, tu auras un déclic.

Peut-être pas dans un jour, ni une semaine, ni peut-être un mois…

Mais il viendra.

Et je te promets aussi, lorsque tu te seras libéré de la consommation morbide d’êtres innocents, ta vie ne sera plus jamais la même.

Le monde non plus.

Libéré de la consommation morbide d'êtres innocents, ta vie ne sera plus jamais la même. #govegan #vegan #végane #véganisme Cliquez pour tweeter

Contribuer à un monde plus sain et plus juste… avec votre fourchette !

Participer à la création d’un avenir meilleur…

Nous en rêvons tous (j’ose le croire). ?

Et c’est cette aspiration qui m’a poussé l’année dernière a tout plaquer, quitter la Nouvelle-Calédonie ou j’ai vécu toute ma vie, pour rejoindre un ami en Bretagne, à Rennes.

Depuis septembre 2016, nous travaillons chaque jour d’arrache-pied pour réaliser un rêve en accord nos valeurs : créer le premier restaurant rapide et salon de thé 100% éco-responsable, végane et Bio de Bretagne.

Si je vous écris aujourd’hui, c’est parce que nous arrivons aujourd’hui à une étape cruciale dans ce projet : le financement participatif.

Les banques auxquelles nous avons déjà présenté notre projet l’estiment solide, novateur et important.

Si vous savez que l’alimentation végétale est l’avenir, pour le bien-être de la planète, des animaux et pour notre santé; et si vous désirez nous soutenir dans ce projet; vous pouvez y contribuer dès à présent, et réserver ainsi quelques contreparties que nous vous avons préparé.

Ah et j’ai hâte de savoir ce que vous penserez de la petite vidéo de présentation que nous avons faites aussi. ?

 

Cliquez ici pour découvrir le projet !

Merci d’avance pour votre soutien, et merci aussi de partager ce projet avec vos amis, sur Facebook ou par e-mail ! 😀

N’écoute pas ton cerveau et fais-le ! [MOTIVATION]

Nous n’avons pas toujours envie de travailler sur nous-même.

Nous n’en avons surtout jamais le temps.

La différence avec ceux qui y arrivent ?

La réponse en 6 minutes :

Pour ceux qui comprennent l’anglais (toute première des 5 stratégies dont j’ai récemment parlé !), je vous recommande chaleureusement de suivre la chaîne Youtube d’Elliott Hulse, une de mes plus grandes sources d’inspiration du moment.

Pour les autres, vous savez ce qu’il vous reste à faire… Duolingo et Unlock Your Brain (entre autre).

Allez, je suis pas vache… je vous ai fait une traduction maison de ce que baragouine Mister Hulse en anglois à la fin de sa vidéo :

Les gens qui réussissent font ce qu’ils ont à faire, qu’ils en aient envie ou pas.

Ils éteignent leur cerveau et ils le font… Il n’y a pas à y réfléchir.

Vous savez juste que c’est quelque chose qui doit être fait.

De la même façon que tu respires, tu t’entraînes.

C’est juste une partie de ton être. C’est ce que tu es, c’est ce que tu fais.

Peu importe à quel point tu peux être fatigué, nous avons TOUS des vies bien occupées. Nous avons tous un tas de choses à faire…

Tu es étudiant, tu as des exams à passer, des devoirs à faire.

Tu es papa, tu as des enfants dont tu dois t’occuper.

Tu travailles, tu as un chef à qui tu dois répondre.

Toutes nos vies sont remplies, nous avons plein de choses à faire.

Peu importe à quel point tu es fatigué, peu importe à quel point ton corps peut être abattu, peu importe à quel point tu peut être épuisé mentalement, physiquement ou spirituellement.

Tu n’y penses pas. Tu y vas simplement.

99% du jeu est gagné quand tu y vas.

Juste y aller.

Tu en fais une habitude.

A la minute ou tu t’arrêtes et réfléchis, à la minute ou tu essaies de trouver une excuse, à la minute ou tu trouves une raison valide pour ne pas aller t’entraîner aujourd’hui, de pourquoi tu ne peux pas y arriver… tu as perdu le jeu…
Parfois tu es trop fatigué… mais ça ne compte pas. Il n’y a pas le temps pour être fatigué.
Tu dormiras quand tu seras mort… le sommeil est le cousin de la mort…

Si vous ignorez ceci, vous vous placez en grand DANGER

Résumé : nous creusons notre tombe avec nos dents et il ne tient qu’à nous de devenir responsable de notre santé.

1 personne sur 3, au moins, souffrira d’une forme ou autre de cancer dans sa vie (source).

Et non, ça n’arrive pas qu’aux autres. Vous n’êtes malheureusement pas exclu de ces statistiques.

La cause ?

Majoritairement votre alimentation.

Jeûner quelques heures par jour ne suffit pas, ni pour mincir, ni pour se détoxifier. Et si vous pensez déjà manger sainement, vous feriez mieux d’y repenser à deux fois.

tomatogm

5 fruits et légumes par jour suffisent-ils vraiment ?

Vous êtes quelqu’un correctement informé ET discipliné ? (Ne trouver qu’une seule de ces qualités chez nos concitoyens est déjà rare…)

Vous veillez donc certainement à vous nourrir selon les préceptes « paléo » et/ou « low-carb » (cétogène : faible en sucres, riche en gras, suffisant en protéines).

Vous accordez alors un effort considérable à la recherche d’aliments de qualité.

Mais quand bien même, un label « Bio » aujourd’hui ne veut rien dire, et nous ignorons presque tout de la manière dont sont véritablement produits et traités nos légumes, fruits et viandes.

La pollution environnementale semble inévitable, nous accumulons des toxines et amplifions nos carences dues à des sols épuisés par une agriculture irrespectueuse de millions d’années d’évolution.

Ne pas survivre activement, c’est mourir passivement

Rejoindrez-vous la liste des râleurs désespérés qui ne lèvent même pas le petit doigt pour changer les choses ?

Où faites-vous parti des Conquérants prêts à savourer la vie à son plein potentiel ?

Voici le plan d’attaque :

  • S’informer en vérifiant ses sources : abonnez-vous au blog Dur à Avaler de mon ami Djé et désapprenez au plus vite les conneries que l’on vous rabâche à la télé.
  • Se supplémenter correctement : n’attendez pas que vos carences se révèlent sous la forme d’une ou plusieurs maladies « incurables ». Comblez ces manques au plus vite et profitez-en pour vous détoxiner profondément avec, par exemple, de l’AFA du Lac Klamath.
  • Stopper les saloperies : les meilleurs suppléments du monde ne pourront RIEN pour vous si vous avalez du Coca, du lait, du pain ou des Pringles régulièrement… Désolé, ce n’est pas moi qui décide de comment fonctionne votre corps mais c’est comme ça !
  • Se discipliner, envers et contre tout : changer ces habitudes requiert un effort. Personne n’aime faire d’effort. Mais si vous comprenez à quel point votre vie est en jeu, les justes choix vous sembleront plus faciles à faire. Commencez tout petit, et persévérez.

Les compléments alimentaires ?

Vous avez probablement un tas d’excuses toutes faites pour ne pas considérer cet outil pourtant essentiel à votre santé.

« Chers ». « Inutiles ». « Dangereux ».

Je connais ces préjugés car ils étaient miens et je les défendais sans sérieusement me renseigner.

Jusqu’à ce que ma maman se rétablisse sous mes yeux d’une DMLA, d’une maladie « incurable ».

Jusqu’à ce que je rencontre un nombre sans cesse croissant de « miraculés » se relevant eux aussi de pathologies lourdes, alors qu’ils étaient souvent condamnés aux dires de la médecine traditionnelle.

Des miracles ?

Non.

Simplement quatre points critiques :

  1. L’information juste
  2. La modération juste
  3. La supplémentation juste
  4. La discipline juste

Vous pouvez apprendre tout ce qu’il vous faut savoir à ce sujet en cliquant ici.

Une pompe par jour, un défi minimaliste, pour la vie

Résumé : vous n’arrivez pas à entretenir vos bonnes habitudes ? C’est parce que vous avez peur du ridicule…

Vous étiez teeeellement motivés !

Vous étiez certain que ce régime / cette routine / cette méthode / cette nouvelle habitude allait ENFIN faire de vous quelqu’un de neuf !

Et vous vous êtes donné à fond !

Mais ça, c’était avant.

Il y a quelques semaines… ou quelques mois à peine…

Aujourd’hui, le simple fait de vous remémorer votre bonne résolution vous fatigue, et vous culpabilise.

C’est un problème très répandu, vous avez simplement eu…

Les yeux plus gros que la volonté

On se blâme facilement pour notre manque de progrès, mais nous blâmons rarement nos stratégies.

Et bien souvent, la stratégie intuitive qu’emploient ceux qui sont déterminés à se transformer est la pire de toute : se motiver.

La motivation ne sert à rien car elle est basée sur les émotions qui vous traversent en ce moment. Or, rien n’est plus instable que l’humeur humaine.

Pour faire court : vous ne voudrez pas toujours être motivé.

Et dans cette situation ou votre humeur sera à plat, chercherez-vous alors la motivation pour… vous motiver ?! oO

Si la tâche que vous vous étiez engagé à accomplir (étudier, faire du sport, etc.) vous paraît facile un jour et insurmontable le lendemain, le problème reste le même : vous vous êtes surestimé.

Un défaut d’orgueil très commun pour lequel heureusement, il existe un Raccourci Minimaliste. 😉

« De plus petites habitudes pour de plus grands résultats »…

… est le crédo du livre « Mini Habits » de Stephen Guise.

Ce livre est la finalisation d’un buzz qui avait commencé l’année dernière lorsque Stephen avait lancé son Défi d’Une Pompe (par jour).

A l’époque, cet article m’avait conforté dans le peaufinage de ma méthode de transformation Faire le Point. De part ma propre expérience, je ne pouvais qu’approuver cette approche de changement en douceur, sur le long terme. Lire l’ouvrage complet de Stephen Guise m’a alors éclairé davantage encore sur les raisons scientifique de l’efficacité de cette optique minimaliste.

Contrairement à la motivation, la volonté peut être développée comme un muscle. Et un muscle se renforce par la répétition.

Plus vous répétez un comportement (bon ou mauvais), et plus celui-ci perd son impact émotionnel. Le manque d’enthousiasme et d’excitation, dans le cadre d’une habitude positive, est alors très bon signe !

C’est la preuve que notre inconscient prends petit à petit le relais, que notre habitude devient une fondation plus stable, plus solide, sur laquelle notre vie pourra s’épanouir.

Pour s’assurer un maximum de répétition possible, il est nécessaire de s’engager à un comportement qui ne dépend ni de :

  • notre humeur
  • notre niveau d’énergie
  • nos proches
  • les aléas du quotidien…

La solution est claire : viser le plus petit objectif possible. 

Une mini-habitude par jour, le triomphe du ridicule

Mini-Habits c’est faire entre 1 et 4 mini-action par jour, à vie. Des actions tellement « mini » qu’elles en sont stupidement simples.

C’est facile à faire :

  1. Déterminer l’action ou l’habitude que vous avez le plus besoin de développer dans votre vie (coup de promo : c’est exactement ce que vous trouverez en suivant ma méthode Faire le Point 😉 )
    ex :
    1) faire régulièrement de l’exercice
    2) faire ses comptes une fois par semaine
    3) apprendre à communiquer plus directement avec autrui
  2. Imaginez le jour le plus éreintant que vous puissiez subir : vous avez de la fièvre, votre petit(e) ami(e) vous a plaqué, vous venez de vous faire virer, votre enfant a été collé, etc.
    Arriverez-vous à faire votre habitude ? Ne vous mentez pas à vous-même, et ne vous surestimez pas…
  3. Réduisez l’action désirée à UN acte ridiculement simpliste… que vous ferez tous les jours… à vie !
    ex :
    1) faire une flexion (squat) par jour… sans forcément en faire plus.
    2) ouvrir le logiciel de compte… sans forcément l’utiliser ensuite !
    3) regarder volontairement une personne par jour dans les yeux pendant 3 secondes… pas plus !
  4. Faites-le ! AUJOURD’HUI !

Vous trouvez ça idiot ?

Parfait !

Vous avez le choix entre persévérez dans des sessions de « sprint » qui s’épuisent quelques semaines plus tard… ou tenter cette approche permanente au secret bien gardé…

Un secret que vous découvrirez bien vite en osant ravaler votre orgueil et en embrassant le triomphe du ridicule :

Rien n’est plus motivant et inspirant que de vous voir agir…
peu importe la « grandeur » de votre action !

Une action ridicule par jour, le secret du bonheur…

Moi, tous les jours, je fais une pompe et une nano-méditation consistant en une grande inspiration/expiration les yeux fermées.

Et vous ? Quel micro-rituel choisirez vous pour changer votre vie à tout jamais ?

Un sourire par jour ? Une pompe par jour ? Une nano-méditation ?
Qui relèvera le défi avec moi ? Dites-le sur vos réseaux sociaux !

Mon interview au sujet du jeûne intermittent et du minimalisme sur le blog Paléo Lifestyle [Article externalisé]

paleo-lifestyle

 

J’ai eu le plaisir d’avoir été interviewé par Julien du blog Paléo Lifestyle sur les thèmes du minimalisme, du jeûne intermittent et de la manière dont l’un se conjugue à l’autre.

Découvrez-vite le contenu de cette interview pertinente qui soulève des questions intéressantes.

> Cliquez ici pour lire l’interview

 

Mincir sans régime… et sans jeûner ?! – Lettre Privée d’avril 2013

lettre-privée-avril

Au sommaire  :

– Zoom sur : 

The Gabriel Method « La méthode révolutionnaire et sans régime pour totalement transformer votre corps »… Ouf !

Le titre à l’air pompeux, et typiquement américain, la « méthode » Jon Gabriel n’en est pas moins une synthèse de principes pleins de bon sens qui a aidé des milliers de personnes à retrouver santé et vitalité.

J’ai personnellement travaillé à la relecture et correction de la traduction de livre de l’anglais vers le français (toujours pas édité), et je vous en fait donc mon honnête critique (comme toujours).

– Article exclusif : Mincir sans régime… et sans jeûner ?!

En remerciement pour ma participation sur la Méthode Gabriel, j’ai eu l’honneur d’être invité à une semaine de séminaire en Australie, à Kiama, pour rencontrer et travailler avec Jon Gabriel et son équipe.

Excellente occasion pour moi que d’avoir l’opinion supplémentaire d’un expert sur le jeûne intermittent !

Sa réponse, d’une limpide simplicité, risque de vous étonner tout autant que moi !

Vous saurez tout, dans cette Lettre Privée que vous recevrez le mardi 2 avril 2013 (j’évite le 1er avril cette fois-ci, ce n’est pas une blague ! 😉 ) :

Cette Lettre Privée est déjà partie !

Cliquez ICI si vous voulez tout de même la lire !

Se lever tôt chaque matin, l’habitude ultime pour développer votre Pouvoir ! – Lettre Privée de février 2013

lettre-privée-fev-2013

Au sommaire  :

– Zoom sur : Réveil Ultra Matinal, un e-book ultra pratique de Jean-Philippe Touzeau.

– Résumé des articles publiés : je me suis remis à écrire sur Raccourci Minimaliste ! 🙂

– Article exclusif : Se lever tôt chaque matin, l’habitude ultime pour développer votre Pouvoir !

Aussi loin que remonte ma mémoire, j’ai toujours été nocturne. Tout petit déjà je trouvais que dormir était une perte de temps alors qu’il y avait tant à apprendre du monde physique !

En contre-partie, une fois endormi, me sortir du lit a toujours été un vrai challenge. Pourquoi revenir dans l’inconfort du corps physique alors qu’il y avait tant à profiter du monde onirique ?

J’ai toujours eu un rapport de haine et d’amour avec le sommeil. Et plus précisément de haine totale pour les matins.

Il n’y a pas si longtemps encore je me levais en catastrophe après avoir appuyé sur le bouton « snooze » un nombre incalculable de fois. Arrivant en courant en retard à mon travail dans une humeur massacrante.

Aujourd’hui TOUT a changé.

Dans ma Lettre Privée je vous dis TOUT :

  • Pourquoi j’ai voulu à tout prix devenir matinal alors que c’est contre ma nature
  • Les solutions mises en oeuvre pour y arriver (et que VOUS pourrez utiliser aussi)
  • Les bienfaits ahurissants que je retire dès à présent de cette habitude nouvellement acquise

Cette Lettre Privée partira uniquement ce vendredi 1er février 2013, sans aucune ré-édition future !

Cette Lettre Privée est déjà partie !

Cliquez ICI si vous voulez tout de même la lire !

La fin du monde a bien eu lieu ! – Lettre Privée de janvier 2013

lettre-privée-01-2013

Au sommaire  :

– Zoom sur : le dernier livre que j’ai dévoré : une Nouvelle Terre par Eckhart Tolle (également auteur du Pouvoir du Moment Présent).

– Article exclusif : La fin du monde a bien eu lieu !

Et si vous l’avez loupé ne vous inquiétez pas, vous pouvez toujours reprendre rendez-vous pour ce bel évènement.  😉

Cette Lettre Privée partira le jeudi 3 janvier 2013, et ne reparaîtra plus. 🙂

Cette Lettre Privée est déjà partie !

Cliquez ICI si vous voulez tout de même la lire !

Le fructose, sucre naturel idéal ? Qu’en dit la science ? [Article de Djé du blog Dur à Avaler]

Prologue

Après le succès de notre première collaboration sur le jeûne intermittent, je reviens vers Damien avec un nouvel article sous le bras.

Cette fois-ci on change de registre pour se tourner vers les glucides, les sucres, et en particulier le fructose.

Cet article s’intègre parfaitement dans le défi réalisé et publié par Damien sur son blog, où il ne devait ingérer aucun sucre (desserts, fruits, édulcorants artificiels ou naturels, etc.) pendant 1 semaine !

La suite de l’article traite donc du fructose, de sa place dans notre alimentation, de ses méfaits et bienfaits sur notre santé.

Bonne lecture, et merci à Damien pour cette publication.

Qu’est-ce que le fructose ?

Egalement appelé « sucre des fruits », le fructose est donc un glucide, un « ose » qui est utilisé par l’organisme pour synthétiser l’énergie nécessaire à nos cellules (cardiaques, nerveuses, musculaires, etc.)

On trouve le fructose classiquement dans les fruits et dans notre sucre de table (1). Le miel est également une bonne source de fructose, à raison d’un sucre sur deux (l’autre molécule de glucide étant du glucose).

Finalement, l’industrie agroalimentaire très innovante est parvenue à inventer une formule sucrée appelé sirop de maïs à haute teneur en fructose. Ce sirop largement utilisé par les industriels est sous le coup de la polémique avec des possibles dangers pour notre santé.

Le fructose est-il dangereux ?

On entend souvent dire que le fructose est mauvais pour la santé car il serait difficile à métaboliser et emprunterait des voies coûteuses pour notre organisme.

La science et la blogosphère spécialisée en nutrition s’accordent pour dire que le fructose serait plus facilement stocker sous forme de graisse (1, 2). Ultimement, l’excès de fructose dans le sang serait un facteur majeur dans l’épidémie d’obésité et de diabète que nous connaissons actuellement.

Pourquoi ?

Selon le Dr. Richards Johnson (3), le fructose est le candidat idéal pour déclencher un diabète sucré, pour la prise de poids et finalement l’obésité. Comparativement au glucose, le fructose crée une forte décharge d’insuline par le pancréas, et par voie de conséquence, peut déclencher une forte résistance pour cette dernière.

La résistance des cellules à l’insuline est la principale cause du diabète sucré, un fléau de plus en plus fréquent dans les sociétés modernes.

Toujours selon ce docteur, notre consommation de fructose ne devrait pas dépasser les 25 grammes par jour. Ce qui correspond à environ 3 bananes et demie, 4 oranges ou encore 7 kiwis.

Pour information, 25% des américains consommeraient jusqu’à 135 g de fructose tous les jours. Les sources de fructose les plus vicieuses sont dans les sodas et toutes les préparations industriels sucrées (snack, chips, etc.), ce qui alourdit le bilan fructose.

Le fructose génère de l’acide urique

Ce sucre n’est pas dégradé de la même manière que le glucose, lorsque le fructose est métabolisé, de l’acide urique sera également synthétisé.

Une forte consommation de fructose entraîne donc une augmentation d’acide urique dans le sang qui n’est pas sans conséquences pour notre santé.

Par exemple, cet excès est corrélé avec une forte pression artérielle, un risque de diabètes, d’obésité et d’insuffisance rénale plus élevé.

Faut-il pour autant ne plus consommer de fruits ?

La question mérite d’être posée, et la réponse risque de vous surprendre.

Les fruits ne doivent pas être réduits à un simple apport en fructoses, mais également à de nombreux nutriments, fibres, vitamines et antioxydants extrêmement bénéfiques pour la santé.

Certains sites conseillent de limiter fortement des fruits tels que les bananes, les oranges ou encore les raisins à cause de leur concentration dangereusement élevée en fructose.

Les recommandations extrêmes du Dr. Johnson sur le fructose n’apparaissent pas réalistes. Une consommation réaliste de fructose se situerait à 100 g par jour, ce qui représente 1 kg de pomme ou 2,5 kg de fraises (4)

La consommation de fruits à notre époque est sérieusement entachée par les pesticides, et engrais chimique de l’industrie. Je vous conseille vivement de vérifier les teneurs en pesticides résiduels dans vos aliments avant de les acheter.

Finalement, l’acide urique crée par le métabolisme du fructose aurait des effets bénéfiques et probablement anti-oxydatifs lorsque la consommation de fructose est modérée (5)

Le sirop de maïs à haute teneur en fructose, la brebis galeuse

Le dernier-né de l’industrie agroalimentaire. Des chercheurs ont réussi à convertir les énormes stocks de maïs en un sucre très bon marché, mais très riche en fructose !

Les sirops de glucose-fructose ont 50% de fructose, et 50% de glucose. Sans bien sûr aucun des nutriments bénéfiques présents dans les fruits.

Ce sirop est dorénavant présent partout, et dans la grande majorité de toutes les pâtisseries industriels, les gâteaux, les barres chocolatées et les sucreries évidemment.

Ces apports masqués de fructose, sans aucuns nutriments essentiels, contribuent à excéder largement les doses journalières recommandées, et mettre sa santé en danger.

Pour conclure, vous l’avez maintenant compris, ce n’est tant le fructose (un sucre simple naturel) qui est dangereux mais bien la dose.

Cette remarque est valable pour le fructose, le glucose et tout le reste en nutrition.

Références

http://www.santenatureinnovation.fr/ Stop aux « 5 fruits et légumes » par jour.

Parks EJ, Skokan LE et al. Dietary sugars stimulate fatty acid synthesis in adults. J Nutr. 2008 Jun;138(6):1039-46.

http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2010/03/13/richard-johnson-interview.aspx

http://www.mondieteticien.fr/#/fructose-et-fruits/3910365

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15203196

Savez-vous gérer votre Mana ? [Lettre Privée de novembre 2012]

Le blog est toujours en pause en ce moment… explications dans ma prochaine Lettre Privée mensuelle.

 

 

Au sommaire ce mois-ci :

– Mention à : Lilite Dumont

Le minimalisme, aussi dans la salle de bain.

– Article exclusif : Savez-vous gérer votre Mana ?

Dans la culture fantastique (notamment en jeu de rôles et jeux vidéos), le Mana correspond à l’énergie mystique qu’utilisent les Sorciers pour alimenter leur magie. L’article du mois vous expliquera pourquoi et comment l’utiliser à bon escient ! 😉

 

Cette Lettre Privée sera envoyé ce vendredi 2 novembre 2012.

Cette Lettre Privée est déjà partie !

Cliquez ICI si vous voulez tout de même la lire !

 

 

Aller à l’essentiel, jusque dans sa salle de bain

J’ai le plaisir d’accueillir pour cet article Raphaël du blog Rue mon Savon qui pourrait bien vous ouvrir les yeux sur ce dont nous avons vraiment besoin dans notre salle de bain.

Personnellement, je suis conquis, et je vais essayer d’appliquer quelques uns de ces excellents conseils.

Encore merci Raphaël. 🙂

Bonjour à tous et merci à Damien de m’avoir invité sur son blog, je suis venu vous parler aujourd’hui du minimalisme appliqué au quotidien et notamment dans nos salles de bains.

Vous avez tous chez vous de nombreuses bouteilles de gel douche, de shampoing, 2en1 et autres masques, dont vous ne vous servez plus, mais que vous n’osez pas jeter parce que tous ces produits vous ont coûté chers.

Savez vous qu’en moyenne il se vend 27 produits cosmétiques par an et par personne… c’est énorme, cela pèse dans vos finances et surtout c’est inutile car ces produits sont décevants et finissent en général à la poubelle.

Je vous propose de n’en utiliser plus que 5, des produits efficaces, qui durent, pas cher et naturels, indifféremment pour les hommes et les femmes, sans renoncer au confort et au plaisir de se sentir bien.

Le minimalisme dans nos salles de bain c’est parti :

n°1 : Un savon

Du savon… depuis l’antiquité il n’y a pas plus simple pour se laver, mais je ne vous parle pas du savon que l’on trouve partout, dur comme la pierre et qui dessèche la peau, non, moi je vous parle du vrai savon, celui que vous pouvez faire vous même, c’est très facile, avec de l’huile d’olive, du beurre de karité et pleins d’autres ingrédients à rajouter selon vos envies.

Si le « home-made » ce n’est pas trop votre truc, vous pouvez aussi en acheter, vous en trouverez sous la dénomination savon à froid. Vous pouvez vous servir de ces savons pour le visage et le corps sans risque de tiraillement même pour les peaux sensibles. Grace à ces savons vous maîtrisez enfin les composants des produits que vous utilisez, fini les composés chimiques au nom latin auquel on ne comprend rien.

n°2 : Un shampoing solide

D’une plus grande longévité que le shampoing classique, plus naturel, le shampoing solide c’est le produit minimaliste par excellence, il en existe pour tous types de cheveux secs, gras, anti-chute…etc.

D’une manière générale, un shampoing classique (mais aussi un gel douche) est constitué à 80 % d’eau, il est bourré de produits chimiques et de conservateurs. Si peu cher à produire que ce qui coûte le plus au fabricant c’est la bouteille en plastique qui le contient ! Avez-vous vraiment trouvé ces produits abordables ? Sachez pourtant que pour le fabricant ils le sont, parce qu’issu de la pétrochimie, ils n’ont rien de naturel, il suffit de regarder leur composition pour sans convaincre.

n°3 : Une pierre d’alun

Une pierre d’alun que l’on utilise tous les jours peut durer plusieurs années, elle s’utilise comme déodorant, c’est super efficace ! Vous passez la pierre sous l’eau, vous l’appliquez sur les aisselles, et vous êtes tranquille toute la journée, même par forte chaleur. La pierre d’alun est neutre en terme d’odeur, vous pouvez utilisez un parfum en plus si cela vous fait plaisir.

n°4 : Un dentifrice doux

Presque tous les dentifrices vendus dans le commerce contiennent de la silice, qui est abrasive pour les dents, et abîme l’émail, c’est pourquoi il est recommandé de bien regarder la composition de son dentifrice, il existe par exemple des dentifrices à l’argile.

n°5 : Une crème de jour

J’entends d’ici les cris des hommes et des femmes en train de lire cet article : « Quoi une crème, mais il est malade ce type ! » mais pas pour les mêmes raisons 🙂

Pour les femmes, une seule crème, « c’est juste pas possible », mais rassurez vous car il ne s’agit pas d’une crème, mais de votre crème, celle qui est adaptée à votre peau et à vos envies, là aussi le mieux est encore de la faire vous-même pour en maîtriser la composition, mais sinon optez pour une crème bio pas forcément plus chère mais qui est garantie sans paraben et autres produits chimiques. L’idée, Mesdames, n’est pas de renoncer à tous vos produits de beauté mais d’apprendre à en maîtriser le nombre et surtout la qualité.

Pour les hommes, se mettre une crème sur le visage « c’est juste pas possible » alors disons qu’il s’agit plutôt d’un « soin hydratant après rasage » c’est plus viril, mais en fait c’est la même chose. Il faut surtout arrêter d’utiliser des gels et autres mousses pour se raser, c’est inutile et c’est cher, la seule chose dont vous avez besoin messieurs pour vous raser c’est d’un savon à l’argile et d’un blaireau. La peau du visage s’abîme sous l’action des rasages répétés et doit donc être nourrie avec une crème, la même que celle de ces dames, il n’y a pas de soin spécifique pour hommes et pour femmes, c’est une invention marketing.

Voilà, c’en est fini de ce petit tour d’horizon, Damien m’a indiqué qu’en Nouvelle-Calédonie on ne trouve pas les mêmes marques qu’en France, et bien je peux vous rassurer, en France aussi les produits que je viens d’énumérer sont difficiles d’accès, et pour cause, c’est pourquoi tant de personnes les font elles-mêmes, du shampoing solide au dentifrice.

Mais je ne suis pas venu ici pour vous vendre tel ou tel produit, je ne suis pas un VRP déguisé en blogueur, mais juste un blogueur qui cherche à dire la vérité sur les cosmétiques, c’est pourquoi je n’ai pas indiqué de marques dans cet article. Je ne cherche pas non plus à vous convertir d’un coup à la Slow Cosmétique puisque c’est son nom, mais si vous ne deviez changer qu’une seule de ces choses, ce serait déjà un grand pas.

Ma conclusion, si après avoir lu cet article, vous allez dans votre salle de bain et que vous retournez la bouteille de votre gel douche pour en lire la composition, c’est que j’aurai réussi à faire passer mon message.

Merci à vous de m’avoir lu jusqu’au bout, il y a tant à dire, c’est difficile de tout synthétiser en un seul article, aussi n’hésitez pas à me contacter, si vous avez des questions ou si je n’ai pas été assez clair sur certains points.

Bonne journée.

Raphael

8 conseils pour bien commencer l’Intermittent Fasting [Cadeau en Lettre Privée]

Raccourci-Minimaliste fait un pas de plus.

Je ne voulais pas entamer une période d’absence (relative je vous rassure) sans un petit geste envers mes plus fidèles lecteurs. 🙂

A partir de ce 3 septembre 2012, tout nouvel inscrit à mes Lettres Privées recevra non seulement mon recueil numérique « 42 Raccourcis Minimalistes », mais aussi mon tout nouveau document .pdf synthétisant tous les bons conseils pour bien s’adapter au jeûne intermittent.

Je vous offre également une fiche-mémo en format A5 (feuille standard A4 pliée en 2) que vous pourrez imprimer et garder constamment avec vous.

Ces documents m’ont demandé beaucoup de temps et de travail mais je vous les offre gratuitement.

C’est ma façon à moi de vous remercier pour votre soutien et votre fidélité. J’espère sincèrement qu’il vous plairont. 🙂

 

La Lettre Privée de ce mois-ci contiendra également :

  • Zoom sur : le blog de Philippe Artigue
  • Rétrospective des articles publiés le mois dernier
  • CADEAU : 8 conseils pour bien commencer l’Intermittent Fasting

 

> Inscrivez-vous ICI pour recevoir mon guide gratuit sur l’Intermittent Fasting

 

 Quant à cette Lettre de septembre 2012 en particulier elle est déjà partie !

Cliquez ICI si vous voulez tout de même la lire !

7 jours sans sucre : le journal

Résumé : le sucre est omniprésent et s’en passer est un vrai défi.

Voici la Quête d’Excellence que j’annonçais le mois dernier.

Elle consiste à s’abstenir :

  • de tout ce qui a un goût sucré (desserts, fruits, édulcorants artificiels ou naturels…)
  • et d’alcool (une forme de sucre)
  • pendant 7 jours

(Source photo)

 

Voici donc mon compte-rendu personnel, jour après jour… et ça commence fort ! ><

Jour 1 : FAIL!!!

Mercredi 1er août

17h, fin du travail et l’heure de manger. Une collègue me propose très gentiment de me servir dans un sac en papier, un assortiment de noix, amandes et pistaches… Je prends une grosse poignée avec satisfaction anticipée…

Et j’avale le tout goulûment, sans avoir remarqué au premier abord que s’y trouvaient aussi des raisins secs ! Très sucrés.

J’aurais du être plus attentif. 🙁

 

Jour 1 : Mieux vaut une stratégie imparfaite qu’aucune stratégie du tout

Jeudi 2 août

En ce moment j’ai une voiture. On me la prête (cool !) pour que je puisse garder une maison assez éloignée du centre-ville (double-cool !!). Je vais donc faire les courses dans un supermarché discount ou je n’avais plus eu l’occasion d’aller depuis longtemps.

En prévision de craquage potentiel je me trouve des substituts. Fromages et charcuteries deviennent alors mes petites confiseries-craquages pour ces 7 jours à venir.

Ok, c’est loin d’être exemplaire niveau nutrition je vous l’accorde. Je ne joue plus à tout ou rien de toute façon et ces douceurs salées me semblent un moyen stratégique de distraire ma soif de sucre. (Qu’est-ce que j’ai envie de croquer dans une putain de bonne pomme fraîche au moment j’écris ces lignes !)

 

Jour 2 : Résister aux influences

Vendredi 3 août

Au travail les collègues grignotent à longueur de journée des petits biscuits Alsaciens en forme d’étoiles qui ont l’air trooooop bons. Mais je tiens mon jeûne habituel et dès 17h je mange mon repas, non-sucré.

Un anniversaire à fêter ce soir. J’apporte une bouteille de vin rouge que j’aurais aimé goûté, mais l’alcool étant également du sucre je n’y ai pas droit. Un punch, apparemment succulent à été préparé par une amie, avec de la vanille et tout… nope.

  • Un rhum arrangé fait son apparition !
  • Damien lance « Non-merci-putain-le-rhum-c’est-un-de-mes-alcools-préférés-argh-pas-grave-j’en-boirais-la-semaine-prochaine ».
  • It’s super effective !

Les pizzas ont pris cher à la place et j’ai bu du thé toute la soirée (oui oui).

 

Jour 3 : Mangez des pommes tomates !

Samedi 4 août

Je rêve que je mange un moelleux au chocolat et du flanc. oO Dans mon rêve je me mens à moi-même en me disant que ce n’est pas SI sucré que ça.

Je me réveille, confus mais rassuré… putain mais c’est que du sucre merde, je suis pas un toxico hein ? :O

Bon. C’est une longue journée qui m’attends (avec encore une fête ce soir…). On entame avec de l’exercice physique (échauffement/pompes/squats) et une douche froide. Puis un tas d’activités font que la journée passe assez vite. 🙂

Jusqu’à la raclette du soir (nous sommes en saison fraîche en Nouvelle-Calédonie) avec un cousin, mon frère et ma soeur. Cette dernière m’apprends qu’elle aussi avait fait un défi sans sucre, pendant deux semaines. Selon elle les premiers jours sont les plus durs et ensuite ça va tout seul. Il est vrai qu’à l’époque elle avait pris du poids (tu m’excuses hein soeurette ! :p ) et ce sevrage, selon elle, lui a permis de retrouver un goût très développé du sucre et donc, de modérer sa consommation après coup.

Je réalise que les tomates fraîches peuvent allègrement remplacer les pommes dont j’ai grave envie…

La tomate, seul fruit que je m’autorise donc de part son goût non-sucré.

Tout le monde finit avec des cornets de glace. Sauf moi. Mais cette fois-ci ça ne me dérange absolument pas. 🙂

 

Jour 4 : La douceur « umami »

Dimanche 5 août

C’est une journée qui commence très tranquillement. Je lis beaucoup. Et j’ai super faim… à 13h !!

Contre-coup de l’épuisement de ma volonté à me priver de sucre ? Résultat de mes malbouffes de ces derniers jours ?

Tant pis je mange ! Une salade, des tomates, du thon… et une tartine de fromage. :p

En fin d’après-midi, après plusieurs voyages, je finis chez ma mère ou je découvre que le lait de chèvre, lui aussi, peut me servir d’agréable substitut au goût sucré.

C’est que le lait de chèvre (et probablement le lait de vache aussi mais je n’en bois pas) est riche de cette saveur appelée umami, ce qui lui confère un goût « rond », doux et « enveloppant ». C’est aussi un des laits d’origine animal qui se digère le mieux par l’homme. Tout bénéf !

J’aime également le lait de soja, mais la plupart des boissons que l’on trouve en Nouvelle-Calédonie à base de lait de soja sont assez chères et ont souvent du sucre rajouté… et même en petite dose, je préfère éviter.

 

Jour 5 : Comme un warrior !

Lundi 6 août 

Hey ! Je me réveille vâchement bien ce matin ! Chose rare.

Plus cool encore aucun coup de barre en rentrant du travail et j’ai pu faire de l’exercice physique avec plaisir. Que c’est agréable de ne pas avoir cette sensation d’être une grosse larve épuisée en fin de journée ! :p

Est-ce du au supposé boost d’énergie d’une diète sans sucre ? A mes exercices physiques plus réguliers ? Ou à l’environnement paisible ou je réside en ce moment ?

Il me faudra vérifier sur le long terme, et sur les prochaines périodes sans sucre, c’est en tout cas intéressant.

 

Jour 6 : Mort de faim…

Mardi 7 août

Je rêve que je dévore un gâteau aux fruits rouges ! :O

Réveil carrément difficile… une journée qui se traîne… et une sensation de faim très forte à des heures improbables (dès 13h). Tout comme dimanche en somme.

Une amie calée en nutrition m’explique que je devrais me nourrir de davantage de bonnes graisses : huile d’olive, noix, beurre, poisson, poulet. Si j’ai encore envie de sucre en fin de repas c’est que je n’ai pas assimilé assez de gras. On ne va pas rentrer dans un débat diététique mais je trouve que c’est cohérent avec ce que j’ai pu découvrir sur l’alimentation paléolithique notamment.

A titre d’expérience je finis mon tout dernier repas du soir par une cuillerée d’huile d’olive, et on verra bien comment je me sens demain (j’adore l’huile d’olive mais prise comme ça ça fait bizarre… :/ )

 

Jour 7 :

Mercredi 8 août

Eh bien aujourd’hui pas de sensation de faim. Ni même après 17h en fait !

La cuiller d’huile-miracle en serait la cause ? Où bien le fait d’avoir pris ma matinée de libre et d’avoir pu avancer sans stress sur des projets perso ?

Là encore seule la répétition de ce défi sans sucre me permettra de le vérifier.

Je n’évite pas toutefois le coup de barre de fin de journée et j’ai toujours envie de plonger mes dents dans la chair d’une pomme bien fraîche et ferme ! XD

 

Et après ?

Il est encore un peu tôt pour bien s’organiser mais je m’imagine sans trop de problème recommencer le mois prochain. Peut-être même en y ajoutant une semaine supplémentaire puisqu’il paraît que celle-ci est plus facile que la première.

Qui sait ? Peut-être arriverais-je bien un jour à franchir la barre des 21, voire des 30 jours sans sucre nécessaires à une reprogrammation au long terme ! 🙂

Que pensez-vous donc de ce challenge nutritif ? Vous êtes-vous déjà abstenu de sucre (volontairement ou non) pendant une certaine période ? Combien de temps ? Comment l’avez-vous vécu ?

Gentlemen, nous parlerons de masturbation [Lettre Privée n°6]

 

Comme en chaque début de mois les abonnés à mes Lettres Privées recevront bientôt un e-mail avec le contenu suivant :

Zoom sur…

The Flinch : un e-book gratuit que j’ai dévoré et que je recommande.

Retour sur les articles publiés le mois dernier

Au cas ou vous auriez besoin de faire du rattrapage. 😉

Parlons de masturbation

Habitude agréable et communément répandue que les célibataires connaissent bien… mais dont on parle finalement peu. Et si le plaisir retiré n’en valait pas la peine ?


Aperçu d’un éclairage nouveau sur la question principalement adressé à mon lectorat masculin.


Cette Lettre Privée ne partira qu’une seule et unique fois ce mercredi 1er août 2012.


Cette Lettre Privée est déjà partie !

Cliquez ICI si vous voulez tout de même la lire !

Que dit la science sur le jeûne intermittent ? [Article invité]

Pour ce tout premier article invité j’ai le plaisir et l’honneur d’accueillir mon ami Djé du blog Dur à Avaler. Mensonges, manipulations, propagandes et mythes, rien ne résiste à l’esprit scientifique de Jérémy. Découvrez donc son blog et rejoignez vite le club des Nutrinautes !

Santé publique

Le monde de la santé est l’un des plus confus qui soit. Aujourd’hui, nous avons à notre service les meilleurs outils technologiques, et des compétences en médecine inégalées.

Pourtant, les épidémies fleurissent. Une portion toujours plus grande de la population mondiale souffre d’obésité, de morbidité, de diabète, et meurt d’une multitude de cancers.

Cet étrange paradoxe, c’est le syndrome « occidental ». Dans nos pays occidentalisés, l’accès à la nourriture est facilité, simplifié, instrumentalisé, voire même forcé.

Il suffit de mettre le pied dans un supermarché pour remarquer l’explosion des couleurs, des goûts, et des tailles des portions à notre disposition. Oubliez votre libre arbitre, vous êtes condamnés à consommer jusqu’à en devenir malade.

L’excès

Un seul mot suffit pour expliquer la dégradation de notre état de santé : l’excès.

Aujourd’hui, nous sommes inactifs, nous sommes hospitalisés et nous consommons trop. Il y a un abus et une opulence généralisée qui se payent cher.

Cependant, des solutions existent pour tous les individus qui désirent se limiter, se restreindre, se suffire du peu et du satisfaisant.

Le jeûne intermittent

S’il devait n’exister qu’une seule solution, connue de tous, physiologiquement et psychologiquement adaptée et qui apporterait en plus des résultats spectaculaires… Ce serait le jeûne intermittent.

Pour connaître les bases du jeûne intermittent, je vous encourage à parcourir le site Raccourci-minimaliste, où Damien les explique clairement. Par ailleurs, cet article vous donnera également une vision générale de ce qu’est le jeûne intermittent.

Une vieille science

Les jeûnes intermittents existent depuis bien longtemps. Nos ancêtres chasseurs-cueilleurs jeûnaient régulièrement, et tout naturellement, par intermittence.

Ils ont suivi, pendant près de 7 millions d’années, ce mode de vie, un peu malgré eux. Pourquoi ? A l’époque, nos ancêtres ne disposaient pas de l’abondance et de l’omniprésence des ressources alimentaires. C’est pour cela qu’ils alternaient des périodes riches en provisions (cerfs, œufs, graines, fruits) avec des périodes de disettes où les maigres victuailles suffisaient pour survivre.

Aujourd’hui, la seule différence, qui existe entre nos ancêtres et nous, réside dans le choix de jeûner ou non. Aujourd’hui, nous avons le choix de volontairement limiter ses apports, et d’aller contre les dogmes de la société moderne.

Jeûner est une alternative de plus en plus en suivie par une population qui refuse les principes de la surconsommation moderne. De plus en plus d’ouvrages, de récits, et d’expériences sont publiées sur les jeûnes intermittents ainsi que leurs effets positifs sur la santé. Et pour cause, les résultats scientifiques fleurissent à ce sujet.

Je vous propose de découvrir les principaux effets que vous pourriez retrouver grâce au jeûne intermittent, répartis en 3 grandes catégories.

La tête, la poitrine et la silhouette

J’ai regroupé les effets du jeûne intermittent sous ces 3 catégories, où l’on pourra observer la grande majorité des modifications.

  • La tête correspond à toutes les fonctions cérébrales, les capacités cognitives (la réflexion, l’attention, etc.) et donc les maladies qui y sont liées : Alzheimer, Parkinson, etc.
  • La poitrine touche principalement les fonctions cardiaques. Dans cette catégorie, vous retrouverez tous les bénéfices pour le cœur et ses dérivés, avec son cortège d’incidents médicaux (inflammation, ischémie, infarctus, etc.)
  • Finalement, la silhouette. Le jeûne intermittent influencera votre courbe de poids via une restriction calorique.

La tête

Un jeûne intermittent vous protègera des dégénérescences des fonctions cérébrales (1, 2). Les maladies telles que Parkinson, Alzheimer ou Huntington sont significativement diminuées (3, 4).

Les cellules nerveuses deviennent plus résistantes aux damages oxydatifs et aux agressions de neurotoxiques. En suivant un tel régime, vous pouvez facilement lutter contre les ravages du vieillissement cellulaire qui handicapent nos seniors (5, 6).

Dans une moindre mesure, ce jeûne participera à favoriser la kétogénèse (ou la production de corps cétoniques). Ces corps cétoniques protègent les neurones des altérations du vieillissement, en ajoutant une protection supplémentaire contre les maladies d’Alzheimer et de Parkinson mais également contre les épilepsies.

La poitrine

Les inflammations, les ischémies, les infarctus du myocarde, toutes ces maladies mettent leurs drapeaux en berne (7, 8, 1, 9). Le jeûne intermittent augmente la sécrétion d’un cardio-protecteur dans le sang, l’adiponectine. Cette molécule protège efficacement le cœur contre les ischémies (10, 11).

Manger par intermittence booste la production d’une hormone très connue, la GH, ou l’hormone de croissance. La sécrétion de cette hormone est augmentée de 2000% chez l’homme, et de 1300% chez la femme en seulement 24h de jeûne (12). Cette hormone appelée brûle-graisse, préserve la masse musculaire et contrôle la glycémie (taux de sucre dans le sang).

On observe également une augmentation des concentrations de cholestérols (HDL et LDL). L’organisme en état de jeûne va libérer ce cholestérol dans la circulation pour l’utiliser directement, et donc réduire les cellules adipeuses présentes. Finalement, on observe un ralentissement du rythme cardiaque.

La silhouette

Ce point est peut-être le plus intéressant dans un contexte d’épidémie d’obésité, et du culte du corps.

Le jeûne intermittent permet de perdre (en moyenne) 2 à 3 % de son poids total dans les 2 à 3 premières semaines. Sur 8 semaines, vous pouvez espérer perdre environ 8 % de votre poids d’origine (environ 700 grammes) (13, 9).

Comment est-ce possible ? Mécaniquement, vous allez réaliser une restriction calorique qui va diminuer vos apports caloriques quotidiens. Vous allez logiquement perdre du poids.

Au-delà de cette restriction, le jeûne va diminuer la concentration des triglycérides sanguins et un retour du contrôle de la glycémie (5, 3, 14, 15, 9). Vos cellules retrouveront leur sensibilité à l’insuline, ce qui induira une baisse de la concentration de cette dernière dans le sang. Or, l’insuline est le principal facteur responsable de la prise de poids.

Cette baisse de l’insulinémie (taux d’insuline sanguine) est également l’objectif idéal et convoité pour tous les diabétiques de type 2 (ou sucré).

Les cancers

Une catégorie à part, les cancers. Le jeûne intermittent réduit significativement les concentrations de l’IGF-1, un facteur de croissance très puissant, qui pousse toutes les cellules à se multiplier. L’IGF-1 incite les cellules saines mais également les cellules pré- ou déjà cancéreuses à se multiplier.

En résumé, manger par intermittence peut réduire (dans une certaine mesure) l’occurrence ou la fréquence d’apparition de certains cancers.

Facile à suivre ?

Ce régime a l’apparence d’une contrainte incroyable, ou d’un défi imposant pour se retenir de manger durant au moins 16 heures. Pourtant, peut-il vraiment faire pire que les régimes alimentaires traditionnels (Dukan, etc.) ? Ces derniers affichent près de 90 % d’échecs à long terme.

Et le jeûne intermittent ? Les dernières études affichent plus de 80 % de réussite chez les patients qui tentent l’aventure.

Ces résultats plutôt étonnant traduisent une logique biologique et évolutive : nous sommes génétiquement, et physiologiquement conçus pour manger de cette manière.

Pour finir, sachez que les grands groupes industriels, l’agrobusiness et de l’industrie pharmaco-chimique, refuseront de faire la moindre promotion d’un tel mode de vie. Ils refuseront de financer la moindre étude sur le jeûne intermittent. Pourquoi ?

Le jeûne intermittent fait de vous le principal acteur de votre santé. Vous consommerez moins, vous serez en meilleur santé, et votre impact sur la société sera minime.

Vous serez le cancer de l’agrobusiness.

Références

1. Mattson, M. P. & Wan, R. 2005. Beneficial effects of intermittent fasting and caloric restriction on the cardiovascular and cerebrovascular systems. The Journal of Nutritional Biochemistry, 16, 129-137.
2. Tajes, M., Gutierrez-Cuesta, J., Folch, J., Ortuño-Sahagun, D., Verdaguer, E., Jiménez, A., Junyent, F., Lau, A., Camins, A. & Pallàs, M. 2010. Neuroprotective role of intermittent fasting in senescence-accelerated mice P8 (SAMP8). Experimental Gerontology, 45, 702-710.
3. Duan, W., Guo, Z., Jiang, H., Ware, M., Li, X.-J. & Mattson, M. P. 2003. Dietary restriction normalizes glucose metabolism and BDNF levels, slows disease progression, and increases survival in huntingtin mutant mice. Proceedings of the National Academy of Sciences, 100, 2911-2916.
4. Halagappa, V. K. M., Guo, Z., Pearson, M., Matsuoka, Y., Cutler, R. G., Laferla, F. M. & Mattson, M. P. 2007. Intermittent fasting and caloric restriction ameliorate age-related behavioral deficits in the triple-transgenic mouse model of Alzheimer’s disease. Neurobiology of Disease, 26, 212-220.
5. Anson, R. M., Guo, Z., De Cabo, R., Iyun, T., Rios, M., Hagepanos, A., Ingram, D. K., Lane, M. A. & Mattson, M. P. 2003. Intermittent fasting dissociates beneficial effects of dietary restriction on glucose metabolism and neuronal resistance to injury from calorie intake. Proceedings of the National Academy of Sciences, 100, 6216-6220.
6. Martin, B., Mattson, M. P. & Maudsley, S. 2006. Caloric restriction and intermittent fasting: Two potential diets for successful brain aging. Ageing Research Reviews, 5, 332-353.
7. Ahmet, I., Wan, R., Mattson, M. P., Lakatta, E. G. & Talan, M. 2005. Cardioprotection by Intermittent Fasting in Rats. Circulation, 112, 3115-3121.
8. Mager, D. E., Wan, R., Brown, M., Cheng, A., Wareski, P., Abernethy, D. R. & Mattson, M. P. 2006. Caloric restriction and intermittent fasting alter spectral measures of heart rate and blood pressure variability in rats. The FASEB Journal, 20, 631-637.
9. Varady, K. A., Bhutani, S., Church, E. C. & Klempel, M. C. 2009. Short-term modified alternate-day fasting: a novel dietary strategy for weight loss and cardioprotection in obese adults. The American Journal of Clinical Nutrition, 90, 1138-1143.
10. Katare, R. G., Kakinuma, Y., Arikawa, M., Yamasaki, F. & Sato, T. 2009. Chronic intermittent fasting improves the survival following large myocardial ischemia by activation of BDNF/VEGF/PI3K signaling pathway. Journal of Molecular and Cellular Cardiology, 46, 405-412.
11. Wan, R., Ahmet, I., Brown, M., Cheng, A., Kamimura, N., Talan, M. & Mattson, M. P. 2010. Cardioprotective effect of intermittent fasting is associated with an elevation of adiponectin levels in rats. The Journal of Nutritional Biochemistry, 21, 413-417.
12. Congrès de l’American College of Cardiology, 2-5 avril, New Orleans.
13. Johnson, J. B., Summer, W., Cutler, R. G., Martin, B., Hyun, D.-H., Dixit, V. D., Pearson, M., Nassar, M., Tellejohan, R., Maudsley, S., Carlson, O., John, S., Laub, D. R. & Mattson, M. P. 2007. Alternate day calorie restriction improves clinical findings and reduces markers of oxidative stress and inflammation in overweight adults with moderate asthma. Free Radical Biology and Medicine, 42, 665-674.
14. Halberg, N., Henriksen, M., Söderhamn, N., Stallknecht, B., Ploug, T., Schjerling, P. & Dela, F. 2005. Effect of intermittent fasting and refeeding on insulin action in healthy men. Journal of Applied Physiology, 99, 2128-2136.
15. Heilbronn, L. K., Smith, S. R., Martin, C. K., Anton, S. D. & Ravussin, E. 2005. Alternate-day fasting in nonobese subjects: effects on body weight, body composition, and energy metabolism. The American Journal of Clinical Nutrition, 81, 69-73.

Tout ou rien ? Bilan final de mon expérience de jeûne intermittent.

En début d’année j’annonçais mon nouveau défi de perdre mon excédent de poids en expérimentant le jeûne intermittent sous une forme appelée Fast-5.

Je m’étais spécifiquement donné jusqu’au 1er juin pour passer de 104 cm à 94 cm de tour de taille (ah ces poignées d’amour…).

 

Qu’en est-il ?

Au risque de vous décevoir, ce bilan sera le premier qui ne comportera pas de mesures précises

Je suis en vacances en France depuis mi-mai et, minimalisme oblige, n’ai pas emporté mon mètre à mesurer et je n’ai pas d’appareil photo non plus (mon vieux téléphone portable n’en comporte pas).

En comparant les photos du mois dernier avec ce que je peux apercevoir dans le miroir je remarque cependant peu de différences flagrantes. Il me semble même avoir pris un peu de poids.

Pour être 100% honnête il m’est arrivé de briser mon Fast-5 à 3 reprises durant mes vacances. La gastronomie française et ses commerces sont une tentation permanente pour qui traverse Paris à pied.

Bien que respectant mes fenêtres horaires d’alimentation de manière générale je profite pleinement des produits qui me sont inconnus ou hors de prix chez moi… de pains, de fromages, de vins… et même de Nutella (récemment légalisé en Nouvelle-Calédonie !).

Est-ce bien sérieux ?

Nous retrouvons ici la même problématique que le mois dernier.

Une amie à Montpellier me l’a clairement dit : est-ce bien cohérent de vouloir améliorer sa santé en pratiquant le jeûne tout en se nourrissant aussi mal ?

Techniquement non. L’idéal serait ET de suivre le Fast-5 ET d’améliorer ma nutrition. Il suffit d’étudier un minimum le sujet de l’alimentation (je vous recommande particulièrement le blog Dur A Avaler de mon ami Djé sur le sujet) pour réaliser à quel point les idées fausses sont nombreuses sur le sujet !

Les produits industriels, sucrés, céréaliers, laitiers sont à bannir au plus vite de notre assiette. Un changement radical s’impose !

Tout ou rien ?

Lorque l’on tombe enfin sur des informations pertinentes qui nous ouvrent les yeux, l’enthousiasme peut nous amener à vouloir tout changer tout de suite.

Et hop ! On va faire du sport tous les matins, passer du jour au lendemain de 4 à un repas par jour, manger strictement paléo et tant qu’a faire radicalement discipliner notre usage de l’internet en même temps que d’arrêter de fumer !

Moins d’une semaine plus tard il est clair que la plupart voir l’intégralité de ces initiatives se retrouveront réduites à néant…

Notre force mentale est limitée, c’est un fait. Changer sa vie se fait étape par étape, par une intégration continue…et plaisante !

N’adoptez donc pas la philosophie d’un tout ou rien binaire. Votre vie ne sera jamais parfaite ! D’incroyables défis vous attendront toujours, et ceci devrait vous exciter au lieu de vous décourager.

J’ai déjà en projet de nombreux nouveaux challenges, de Raccourcis Minimalistes à appliquer pour transformer ma vie. Mais j’irais pas à pas. En revenant de vacances je vous présenterais le futur sentier que je prendrais pour atteindre mon objectif de tour de taille (toujours d’actualité tant qu’il n’est pas réalisé !).

Je m’appelle Damien Casoni, je pratique le jeûne intermittent avec plaisir et des résultats positifs mais encore insatisfaisants et cette méthode est désormais une habitude bien ancrée que je continuerais probablement à vie.

Et toi ? A quoi tu joues ?

Accéder à la cryonie, la méthode vérifiée la plus économique possible

MISE A JOUR : hélas, la méthode proposée ici n’est plus disponible. Dès que j’en trouve une autre je mettrais à jour cet article.

La procédure que je présente ici m’a nécessité plus d’une année de recherches, d’obstacles à traverser et de doutes quant à la réussite du projet.Si votre Rage de vivre dépasse votre éducation sociale « mortaliste » vous ne reculerez devant aucun obstacle. Vous vous armerez de patience et arriverez vous aussi à vous offrir ce seul moyen rationnel et plausible de défier le Néant et la résignation.

Néanmoins, rassurez-vous, il vous faudra bien moins d’un an pour y arriver comme je l’ai fait. Je pense qu’en se préparant bien, toutes les étapes de la méthode peuvent être accomplies en un mois.

(Crédit photo)

Financer votre contrat

Cryopréserver un corps n’est pas gratuit (cela le sera peut-être un jour en Russie grâce à CryoFreedom cependant), et vous avez actuellement 4 options pour financier votre contrat :

  1. Prépayer votre contrat de suspension (35 000 $ USD pour les moins chers, c’est pas donné !)
  2. Signer une assurance-vie avec Rudi Hoffman, LE spécialiste mondialement reconnu de l’assurance cryonique
  3. Utiliser une police d’assurance-vie dont le bénéficiaire sera votre institut cryonique. Cette police devra être intégralement traduite en anglais pour qu’elle puisse être vérifiée et certifiée par l’institut cryonique. Le coût d’une traduction de ce niveau (qui peut être faite par le service de C.I.) vous reviendra presque aussi cher que d’aller directement aux USA pour traiter avec Rudi.
  4. Contracter une assurance-vie en ligne, accessible à tout citoyen du monde et qui soit prouvée de confiance

La méthode que je vous propose a été certifiée valide par Cryonics Institute. Pour les 2 autres instituts opérationnels de cryonie que sont Alcor et KrioRus  j’ignore totalement si ils l’accepteraient.

Cependant, je vous recommande personnellement Cryonics Institute car il est :

  • le plus ancien des instituts opérationels, fondé par Robert Ettinger, le père de la cryonie.
  • le plus accessible aux non-Américains (administrativement et financièrement)
  • et son contact, Andy Zawacki ( cihq(a)aol.com ), est cordial et répondra à toutes vos questions par e-mail (en anglais).

Le produit à utiliser est offert par HCC Medical Insurance Services, une branche dépendante de l’organisme HCC Insurance Holdings.

L’assurance-vie qui nous intéresse se nomme IC+ International Term Life Insurance. Vous pouvez en lire la description dans une brochure .pdf.

L’objectif est de placer Cryonics Institute en tant que bénéficiaire total de cette assurance. Cryonics Institute est un organisme à but non-lucratif, mais l’entretien du matériel technique, du local et les recherches associées ne sont pas gratuites hélas !

Cette assurance ne durera que 10 ans, renouvelable, avec une option qui double le capital destiné au bénéficiaire si le décès survient suite à un accident (lisez bien les clauses, certaines conditions ne sont pas prises en charges : terrorisme, etc, mais c’est ainsi pour toutes les assurances-vies non-militaires de toute façon).

Vous pouvez souscrire pour le capital le moins élevé 100 000 $ USD qui, si vous êtes membre annuel ou à vie de Cryonics Institute, couvrera plus que nécessaire votre suspension ainsi que votre transport ou que vous soyez dans le monde.

Un peu de préparation est nécessaire

J’ai du personnellement relever trois obstacles dans le remplissage de ce formulaire, je vous les présente ici pour que vous puissiez vous y préparer à l’avance :

  1. il vous sera demandé vos antécédents médicaux. Pour cela, même si cela ne m’a pas été demandé, certainement du fait de mon âge relativement jeune, je suis allé chercher mes dossiers hospitaliers afin de pouvoir avancer les dates exactes des interventions subies.
  2. il vous sera demandé le contact de votre médecin traitant. Jusqu’alors je n’avais pas de médecin officiel, ne tombant que rarement malade j’allais à droite à gauche (en Nouvelle-Calédonie il n’est pas obligatoire d’avoir un médecin traitant), c’est maintenant chose faite.
  3. il vous sera demandé des détails concernant vos autres assurances-vie. Je vous recommande de bien classer tous vos documents pour bien vous y retrouver et avancer des informations exactes. 😉

Notez que votre paiement ne sera pas réalisé si votre dossier n’est pas accepté.

Afin de remplir votre formulaire et en savoir davantage sur le produit en lui-même je vous encourage à contacter, Alesha Cornejo ( alesha(a)asaincor.com ), l’agent qui m’a aidé et qui est très réactive.

N’hésitez pas à lui poser un maximum de questions, elle est très réactive, et c’est son travail après tout. 🙂

Une fois que vous recevrez l’acceptation de votre demande (ce que je vous souhaite), vous pouvez directement mettre en contact votre assureur et Andy de Cryonics Institute, afin que ce dernier s’assure que votre contrat est pleinement en force ! Il vous enverra alors votre contrat de suspension cryonique si vous lui confirmez que vous êtes prêt à le remplir !

N’attendez pas !

Nous détestons penser à la mort, surtout à la nôtre ! Elle frappe sans raison et n’importe quand et mieux vaut être préparé plutôt que de laisser maladies et accidents avoir raison de nous et de ceux que nous aimons.

Chaque jour qui passe nous vieillissons un peu plus et les assurances deviennent plus onéreuses ! Agissez maintenant ! Peu importe votre âge, attendre n’améliorera rien.

Ayant pu remplir ce contrat avant d’avoir 30 ans et sans avoir de problème de santé notables, je ne paie que 250 $ par an pour un bénéfice de 100 000 $ à Cryonics Institute en cas de décès. Cette somme couvre le transport de mon corps, également géré par C.I.

En additionnant ces 250 $ à mon adhésion annuelle de 120 $ à CI, je paie en tout et pour tout (et pour les 10 ans de mon contrat) 370 $ par an, soit 31 $ par mois !

Se « priver » d’une pizza chaque mois pour s’offrir une possibilité scientifique de vivre éternellement… je pense que le pari est plus que raisonnable. Qu’en pensez-vous ?

Ce « frigo » peut sauver votre vie, et celle de ceux que vous aimez. (présentation de la cryonie)

Mise à jour : aujourd’hui secrétaire de la Société Cryonics de France, je vous encourage à en visiter son site web officiel si le sujet vous intéresse.

Le verdict est tombé : vous êtes atteint d’une maladie fatale et incurable. Loin de vous démonter, vous cherchez une solution, quelqu’elle soit. Hélas, le monde entier vous le confirme, vous ne vous en sortirez pas avec les moyens actuels. Vous dites déjà adieu à tout ce que vous aimez, vos passions, vos proches…

Un groupe de scientifiques un peu marginaux prend alors contact avec vous.
« Nous avons peut-être une solution…mais rien n’est certain… »

Que choisissez-vous ? La certitude de quitter tout ce qui importe pour vous et d’en finir à jamais ? Ou prendrez-vous une chance, si novatrice puisse-t’elle paraître, si mince soit-elle ?

Peut-être seriez-vous étonnés d’apprendre que la plus grande partie des gens préféreront se résigner à disparaître plutôt que d’essayer quelque chose de nouveau…

(Crédit photo)

Le culte omniprésent de la résignation

Dans la culture transhumaniste et immortaliste, nous appelons « mortalisme » ou « morbidisme » cette ensemble de croyances et de pensées qui tendent à justifier, voire glorifier la mort d’un individu.

Il est dans la nature de nos biais cognitifsd’élaborer des causes à des effets souvent simplement aléatoires. La perte d’un être humain est un évènement trop douloureux pour n’avoir aucune « raison » métaphysique tentons-nous de nous convaincre.

Ainsi sont nées les superstitions, les religions et les louanges au sacrifice de soi. De même que les fantasmes variées d’après-vie ou de réincarnations.Ce « mortalisme » et ses ramifications ont très clairement joué un rôle de catalyseur émotionnel fort utile en ces temps ou la Faucheuse ne pouvait épargner personne.

Or les temps changent.

Anatomie de la Mort

La définition même de ce qu’est la mort n’a cessé d’évoluer au fil du temps alors que nous progressions médicalement et technologiquement.Il y a plus de 50 ans était déclaré décédé toute personne dont le coeur avait cessé de battre.

Depuis, nous avons développé des techniques de réanimation cardiaques et nous établissons un décès lorsque le cerveau à cessé de produire des réactions électro-chimique durant une période donnée.Cette vision aussi est soumise à débat au vu des nombreuses hypothétiques NDE (expériences de mort imminente) expérimentées lors de l’arrêt momentanée des fonctions cérébrales.

La perception émergente de ce qu’est la mort, telle que la définisse transhumanistes et scientifiques d’avant-garde est la suivante : un processus de désorganisation, le passage d’un état fonctionnel à un état de moins en moins facilement réparable et réversible de dégradation.

Je vous encourage à relire une fois de plus cette définition.

Et une fois de plus encore.

La vision de la mort en tant qu’état binaire (Vie/Mort) est directement issue du mythe d’un « âme » immortelle et migrante. La « mort » n’est aujourd’hui plus vu comme une condition, mais comme un processus.

Et comme tout processus, il ne suffit que de le comprendre pour le stopper en route…voire le réverser.

La cryonie, passeport vers l’avenir

Stopper le plus vite possible l’effet de dégradation progressif que l’on appelle la mort, voici l’objectif de la cryonie.Concrètement, la cryonie est une procédure de préservation de votre corps à une température très basse et avec des moyens évitant la formation de cristaux de glace.

L’objectif est de conserver votre organisme le plus intact possible puisqu’à -130°C l’ensemble des processus bio-chimiques sont totalement interrompus.Et après ?Eh bien il ne s’agit qu’une question de temps avant que la nano-robotique soit capable de réparer des dommages au niveau cellulaires, et donc, de rendre sa pleine fonctionnalité et autonomie à un corps en suspension.

Notez également que la technologie nécessaire à la réanimation d’un être humain sera bien plus complexe que celle qui nous permettra de soigner et réverser le vieillissement (d’ici moins d’une vingtaine d’années estiment les plus éminentes autorités sur le sujet).

Autrement dit, vous reviendriez d’un sommeil cryonique jeune, en pleine santé et potentiellement éternel !

De telles allégations peuvent paraître farfelues voire de dimension quasi-religieuse… Pourtant plus de 61 scientifiques ont signés une charte de soutien au mouvement cryonique affirmant ainsi que cette technologie est rationnelle et prometteuse.

Peu importe ce que votre culture ou votre religion a tenté de vous inculquer au sujet de la mort…lorsque vous êtes confrontés à la perte d’un être cher VOUS SAVEZ que quelque chose d’injuste s’est produit.

Honorez cette partie de Vous qui Refuse d’abandonner.
Ecoutez votre Rage de Vivre.

Que vous dit-elle ?

Allez vous laisser tomber et vivre avec l’idée d’être déjà mort ?
Ou lutterez-vous pour offrir la moindre chance de vivre à ceux que vous aimez et à vous même ?

Dans le prochain article je présente en détail les différents moyens pour souscrire dès aujourd’hui un contrat de suspension cryonique.

PS : si le sujet vous intéresse, visitez le site officiel de la Société Cryonics de France.

Vous cherchez LE truc qui va changer votre vie ? Voici ce que m’a rappelé mon bilan de 4 mois de jeûne intermittent.

Si vous avez comme-moi un penchant certain pour la fainéantise (que nous appelons « optimisation » ou « efficacité » pour faire genre) vous avez probablement lu un tas de bouquins ou d’articles vous expliquant comment améliorer votre vie.

C’est qu’il existe une somme incroyable de petits tuyaux bons à savoir pour arriver plus facilement aux résultats voulus.

En ce qui concerne la perte de poids, le mien est le jeûne intermittent sous une forme appelée Fast-5Je saute deux repas par jour et mange uniquement après 17h.

Etant donné mes résultats impressionnants avec cette méthode, je pensais avoir trouvé LE truc facile qui allait me donner un corps d’athlète sans en foutre une.

En fait, je suis juste retombé dans LE piège.

• A la recherche du Raccourci Ultime

La quête de LA recette miracle est un piège. Nous aimerions nous éviter l’effort nécessaire pour transformer notre vie en découvrant LA feinte finale.

Nous pensons qu’il nous suffit juste de la bonne information, celle qui nous échappe encore, pour atteindre enfin le bonheur. C’est la raison pour laquelle nous dévorons les ouvrages de développement personnel, ou que nous sommes incapables de rester 24 heures sans Facebook ou Twitter…parce que nous risquerions de rater, peut-être, LE message, l’information essentielle qui pourrait transformer notre vie.

La solution au bonheur n’est pas une information, mais une comparaison.

  • Je suis heureux parce que je suis aujourd’hui bien plus capable d’agir qu’a n’importe quel autre point de mon passé. (comparaison à soi-même)
  • Je suis heureux parce que je peux voir en autrui ce que j’étais auparavant, reconnaissant certaines erreurs que je reproduisais alors. (comparaison à autrui)
  • Et à un niveau absolu, je suis aussi heureux parce que je suis différencié de cet univers extérieur que je peux confronter à mes rêves. (comparaison à la réalité)

Savoir ne suffit pas.
Oser n’est qu’un début.
Insister est essentiel.

Mais plus encore, garder trace du chemin parcouru permet de déterminer avec raison si vos nouvelles habitudes acquises sont efficaces ou non, et si elles doivent être révisées ou complétées.Cela implique de l’assiduité, de la prise de notes régulière, une volonté farouche de voir la réalité en face et de se remettre en question pour pouvoir mieux avancer.

En conformité avec cette attitude scientifique, voici ce que j’ai découvert concernant ma perte de poids avec le Fast-5 :

• Empêtré dans un plateau

Voici mes mesures :

  • 2011-12-05 : hanches au nombril (103,4 cm) – fesses (108,4 cm)
  • 2012-03-05 : hanches au nombril (96,3 cm) – fesses (103,7 cm) (2e mois)
  • 2012-04-02 : hanches au nombril (95 cm) – fesses (102,2 cm) (13e semaine)
  • 2012-04-09 : hanches au nombril (95,2 cm) – fesses (102,5 cm) (14e semaine)
  • 2012-04-16 : hanches au nombril (96 cm) – fesses (102 cm) (15e semaine)
  • 2012-04-23 : hanches au nombril (96,2 cm) – fesses (103 cm) (16e semaine)
  • 2012-05-01 : hanches au nombril (96,2 cm ) – fesses (102,5 cm) (4e mois)
Depuis un mois maintenant je ne perds plus de poids, c’est ce qu’on appelle un plateau.

Avec les bafrées de fromages, de produits céréaliers, de chocolats et autres plaisirs que je m’enquille passé 17h je ne pense pas que ce soit étonnant.

Gros avantage : je ne prends pas de poids avec tout ce que je me gave ! C’est déjà ça de pris !

Mais là ou ces mesures deviennent très intéressantes c’est qu’elles soulèvent une question difficile : que veux-je faire ?

J’ai le choix :

  1. me contenter de ce truc facile qu’est le Fast-5 et continuer à manger plus ou moins n’importe quoi
  2. prendre ce plateau comme un nouveau défi et devenir plus exigeant alimentairement parlant

Et vous savez quoi ? Je n’ai pas encore décidé.

• Le Raccourci interminable, un pas à la fois

En comparant mes mesures d’aujourd’hui avec celles d’il y a quelques mois je ne peux qu’être heureux et fier de moi.

Mais que l’on parle de transformer son corps, gagner de l’argent ou trouver l’amour; nous affrontons la même dynamique : celle de la quête, interminable, de l’excellence.

A mesure que nous progressons nous réalisons que nous devenons de plus en plus exigeants.

  • Nous ne nous satisfaisons plus d’avoir perdu du gras, nous voulons aussi une belle silhouette et être séduisant.
  • Avoir un travail qui paie ne suffit pas, nous voulons plus d’argent pour découvrir le monde et l’aider à le rendre plus beau.
  • Notre partenaire est adorable, mais nous voulons aller plus loin dans notre relation et expérimenter de nouvelles aventures de vie avec lui.

Ainsi en est-il de la nature des Sorciers qui font bouger le monde. De ceux et celles qui n’ont pas peur d’expérimenter de nouvelles astuces capables d’optimiser leur parcours. Pour aller plus loin, toujours plus loin, au risque parfois de se perdre un peu.

Mais quand la destination est le chemin lui-même il ne peut y avoir d’erreur non ? 🙂

Et vous donc chers amis Conquérants ? Quel est le plateau que vous traversez actuellement ? Et quels sont les choix qui s’offrent à vous ? Saurez-vous faire celui qui vous convient le plus ?

Jeûner pour rester jeune (bilan de 3 mois de Fast-5)

Depuis 3 mois, je ne mange jamais (ou presque) avant 17h.

Une pratique radicale pour en finir avec mes kilos superflus et pour expérimenter de front la remise en question d’un certain nombre de mythes alimentaires bien ancrés.

Certes je mincis à vue d’oeil, mais j’ai également grave la patate lorsque je pratique mon sport à jeûn (je suis capoeiriste et je peux vous assurer que c’est souvent bien physique). 😉

Cependant, j’affirme que mes sensations seules ne peuvent suffir à affirmer si ce mode d’alimentation est judicieux ou non, sur le long terme du moins.

Voici pourquoi il est intéressant d’aller voir ce qu’en dit La Science :

 

• Investir sur sa santé à long terme

L’excellent e-book gratuit « Life Extension Express » (que je recommande chaudement à tous ceux qui peuvent lire en anglais) rappelle que notre corps est pollué par ce que nous mangeons, ce que nous buvons, mais aussi par ce que nous respirons et ce que nous mettons sur notre peau (cosmétiques, tissus synthétiques, etc.).

L’auteur nous explique également qu’en jeûnant ne serait-ce qu’un jour par semaine on peut bénéficier du principe de la restriction calorique tout en mangeant « normalement » les autres jours.

La restriction calorique est non seulement longtemps resté le seul moyen prouvé d‘allonger la durée de vie maximale des mammifères, mais il a également été prouvé que c’est un moyen efficace d’éviter au mieux le développement du diabète, des maladies cardiaques et cérébrales, pratiquement la plus grande partie des dégénérescences liées au vieillissement à vrai dire.

D’après certains adeptes, le jeûne intermittent à fenêtre (tel que le Fast-5) serait encore plus efficace qu’un jeûne par semaine puisqu’on en arrive quasiment à ne manger plus qu’une fois par jour ou presque avec le temps.

• Mon bilan au bout de 3 mois

Comme à l’accoutumé je poste mes mesures personnelles prises chaque lundi soir.

Pensez bien que vous ne pouvez vous y comparer si vous êtes vous même en train d’expérimenter le jeûne intermittent dans une optique de perte poids. Le nombre de critères en jeu est trop différent et varie selon chaque individu.

  • Situation initiale au 2011-12-05 : hanches au nombril (103,4 cm) – fesses (108,4 cm)
  • 3 mois plus tard…
  • 2012-03-05 : hanches au nombril (96,3 cm) – fesses (103,7 cm)
  • 2012-03-12 : hanches au nombril (97 cm) – fesses (102,6 cm)
  • 2012-03-19 : hanches au nombril (95,3 cm) – fesses (102,5 cm)
  • 2012-03-26 : hanches au nombril (96,3 cm) – fesses (101,6 cm)
  • 2012-04-02 : hanches au nombril (95 cm) – fesses (102,2 cm)

Il y a une perte de centimètres… et des gains. C’est que je me fais grave plaisir le week-end dans les 5 heures qui me sont allouées pour manger et boire.

De toute façon il y a un amincissement sur le long terme, progressif et constant.

Si vous êtes vous aussi engagé sur la transformation de votre corps, peu importe votre méthode, souvenez-vous de ceci : l’important, c’est d’être patient, et persévérant.

Les méthodes miracles, express ET bonnes pour votre santé n’existent pas.

• Tentez le jeûne d’un jour !

Et si vous essayiez de passer 24 heures sans manger ?

Celà vous semble-t’il si insurmontable ?

Craignez-vous, à tort, de tomber en hypoglycémie ?
Sachez que si vous n’êtes pas diabétique il est très TRES rare de pouvoir être victime d’hypoglycémie !

Les « vertiges » que vous pourriez expérimenter sont en grande majorité dû à la digestion de votre dernier repas (une digestion peut durer jusqu’à 8 heures !) généralement pas de bonne qualité (industrielle, trop sucrée ou néolithique : céréalière et laitière).

  • NON, vous n’allez pas tomber dans les pommes. Prenez un repas riche en légumes, fibres et protéines avant vos 24 heures si vous avez peur malgré tout.
  • NON, vous n’allez pas mourir de faim. Vous n’aurez probablement que 2 ou 3 « pics » de faim dans la journée, et vous aurez certainement à peine faim quand arrivera votre heure de manger.
  • NON, vous n’allez pas enclencher le fameux « mode stockage » et vous n’allez pas vous engraisser en mangeant. Ce fameux « mode famine » n’arrive pas avant plusieurs jours de jeûne véritable.
  • NON, vous n’allez pas stopper votre métabolisme ni vous transformer petit à petit en larve. Bien au contraire, dès que vous arriverez à ne plus accorder d’importance à ce ventre gargouillant vous vous rendez compte de toute l’énergie que vous pourrez réinvestir sur vos activités journalières.

A vrai dire, ce sentiment de légèreté et de bien-être, vous pourriez bien y prendre… goût ! 😉

Alors, vous essayez quand ?

Perdre du poids rapidement et sans se priver (bilan de 2 mois de Fast-5)

Voici venu le temps d’un second bilan.

Voici deux mois que je prends mon petit-déjeûner à 17h dans l’optique de perdre du gras et d’améliorer ma santé de manière générale.

Commençons immédiatement par…

 

• Les mesures de février 2012

  •  2011-12-05 : hanches au nombril (103,4 cm) – fesses (108,4 cm)
  • [un mois passe]
  • 2012-02-06 : hanches au nombril (99,3 cm) – fesses (106,4 cm)
  • 2012-02-13 : hanches au nombril (99,4 cm) – fesses (105 cm)
  • 2012-02-13 : hanches au nombril (97,6 cm) – fesses (105,3 cm)
  • 2012-02-27 : hanches au nombril (98,3 cm) – fesses (105 cm)
  • 2012-03-05 : hanches au nombril (96,3 cm) – fesses (103,7 cm)

Sur les photos le résultat d’un mois à l’autre n’est pas flagrant. Mais les chiffres sont encourageants.

A noter que je m’autorise maintenant de léger écarts, le samedi surtout, lorsque les après-midis avec les amis sont riches en mets délicieux, je brise mon jeûne une ou deux heures plus tôt et ne mange pas le soir pour compenser.

Je n’ai pas de balance chez moi, cependant je suis allé voir le docteur le 24 février (pour certificat annuel à pratiquer mon sport, pas de souci autrement. 🙂 ), j’ai été pesé à 86 kg.

A noter que le 20 novembre 2011 j’en faisais 93.

C’est donc un total de 7 kilos perdus en deux mois, en mangeant tout ce qui me plait ! 🙂

• Qu’est devenue la faim ?

Je ne m’y attendais pas, mais en milieu de mois un nouveau déclic à eu lieu.

La sensation d’être passé à une étape supplémentaire d’adaptation au niveau du ressenti de la faim. Au bout de 7 semaines de pratique c’est assez étonnant.

C’est bien simple, je ne sais plus ce qu’est la faim !

J’exagère un peu, mais il m’arrive parfois de ressentir mon estomac vide, peut-être un gargouillement léger une ou deux fois par jour, mais je n’arrive plus à appeler ça de la « faim ».

Je me sens tellement bien quand je jeûne maintenant (ça s’explique par la secrétion d’hormones qui rendent optimistes 😉 ) qu’il m’arrive parfois de me dire, après avoir un peu abusé lors d’un repas, de me dire : vivement demain que j’ai le ventre vide !

Moi qui il y a quelques mois était incapable ne serait-ce que de penser sereinement en attendant le repas du midi ! C’est une évolution psychologique assez frappante, manger non plus sous la pression physiologique mais par pur plaisir

D’autres pourront certainement témoigner du même phénomène car…

• Le jeûne intermittent fait des émules

Pas moins de cinq personnes m’ont dit s’essayer au jeûne intermittent après avoir découvert ma démarche.

Chacun le pratique sous des protocoles et pour des objectifs différents :

• L’une est une maman végétalienne qui nous prouve que l’on peut avoir une vie de famille et un mode de vie hors du commun (oui oui Adeline je parle bien de toi 😉 )

• L’autre est un sportif à l’alimentation quasi-paléolithique et s’est donné un mois pour vérifier l’impact du jeûne intermittent (en 16/8) sur sa force musculaire et sa vigueur.

• Un dernier encore, papa en surpoids et grand gourmand, commence son adaptation en décalant petit à petit son « break-fast ». Il a même su résister à la tentation d’une pizza qui était hors de sa fenêtre d’alimentation. La première fois que ça arrive je sais à quel point on peut être fier ! Bravo ! 😉

Si vous connaissez des personnes que ce mode d’alimentation pourrait intéresser, que ce soit pour en finir avec l’obésité, retrouver de l’énergie ou donner un grand coup de boost à leur santé, alors partagez ce petit compte-rendu sur Facebook, Twitter, ou par e-mail. Si mon humble exemple peut encourager autrui à remettre en question son mode de vie et à se transformer pour le meilleur, alors mon blog aura réussi son objectif. 🙂

Si vous faites parti de ceux qui essaient le jeûne intermittent, je vous encourage à poster ici votre  compte-rendu personnel.

Quelle méthode de jeûne intermittent suivez-vous ? Ou en êtes-vous ? Que constatez-vous d’intéressant pour l’instant ? Quelles ont été les difficultés rencontrées ?

Savez-vous « jeûner le ventre plein » ?

Cette expression contradictoire m’est venue à l’esprit alors que je passais par la phase d’ajustement du Fast-5.

Le mode de vie Fast-5 consiste à jeûner environ 19h tous les jours. Je ne mange que dans une fenêtre située entre 17h et 22h.

Lors des deux premières semaines de ce programme, sitôt que s’ouvrait ma fenêtre alimentaire, je me goinfrais à n’en plus pouvoir. Cette frénésie prévisible est vécue par la grande majorité des pratiquants du jeûne intermittent et à tendance à s’apaiser avec le temps, mais c’est tout de même une expérience assez inquiétante à vivre par moment.

Ce manque de maîtrise de soi, cet abandon à la faim limbique lorsque l’on vient l’heure de briser le jeûne, est une prise de contrôle des cerveaux « primitifs » sur notre raison.

• La cacahuète qui rend idiot

Notre esprit, à l’image d’un courant aquatique, possède une forte inertie : plus on pense et agit d’une certaine façon et plus il est difficile d’aller à contre-courant.

Réussiriez-vous à ne manger qu’une cacahuète face à un bol qui en est rempli ?!

J’étais justement en train de m’empiffrer comme un porc (et pas avec des cacahuètes…) quand m’est soudainement venue cette idée : « Et si j’essayais de m’arrêter… juste un instant ? Et si je me mettais à jeûner aussi le ventre plein ? « 

Après tout, tout va très bien. Mes apports nutritifs sont comblés et je n’ai aucune raison de donner crédit aux inquiétudes infondées concernant le jeûne.

Mon corps s’est bien adapté, jeûner la journée est maintenant facile.

Pourquoi n’essaierais-je donc pas de reporter un peu de cette discipline récemment développée sur ma fenêtre d’alimentation ?

Juste essayer, attendre un peu au lieu de se resservir après avoir fini une bonne assiette.

Poser sa fourchette. Respirer à plein poumon. Ouvrir un livre, aller marcher, peu importe… se déconnecter ! Passer à autre chose… juste un petit quart d’heure… mettre ces cacahuètes hors de vue. 😉

Une fois libéré du courant mental qui nous emportait nous nous étonnons de la facilité avec laquelle nous pouvons revenir, quelques minutes après, les idées claires, avec le choix conscient de continuer à manger ou non.

• « Jeûner le ventre plein » c’est stopper volontairement une série d’actions en chaîne

Pour se rappeler que NOUS avons le pouvoir, que nous avons un libre-arbitre et qu’il est jouissif d’en rester maître.

Jeûne le ventre plein c’est aussi :

  • s’arrêter au plein milieu d’un travail stressant pour aller s’étirer et prendre le soleil. Nous serons plus performant après.
  • éteindre la télévision quand vient une page de publicité, et peu importe ce qu’il adviendra de Kelly et de Stephen dans la seconde partie de l’épisode.
  • limiter consciencieusement ses dépenses même si on vient de recevoir une prime, voire même si nous venons de gagner au Loto, la quantité ne devrait pas encourager l’inconscience.
  • poliment refuser un verre (ou un pétard) quitte à se sentir un peu seul, mais avec cette solide fierté intérieure d’aller à contre-courant et de prendre soin de soi.
  • laisser quelques souvenirs derrière soi au lieu d’en accumuler d’avantage, pour mieux leur rendre honneur et accueillir l’avenir à bras ouverts.
  • attendre encore un peu avant de l’embrasser

A quelles autres actions pourrions-nous aussi attribuer l’expression « jeûner le ventre plein » ? 🙂

Mincir sans rien faire c’est facile ! (bilan d’un mois de Fast-5)

Pour ceux qui viennent d’arriver, le Fast-5 n’est ni un régime ni un programme qui consiste à faire quelque chose en plus comme compter ses calories, se limiter à des plats spécifiques ou autre, mais bien de se simplifier la vie et d’en faire moins !

Il s’agit tout simplement de prendre son « petit-déjeûner » à partir de 17h, d’arrêter de manger vers 22h et recommencer chaque jour, en restant totalement à jeun hors de cette fenêtre horaire. Une forme de Ramadan laïque si je puis dire, mis à part que s’hydrater est fortement encouragé, ce n’est pas un jeûne « sec ».

Et c’est carrément le bon plan pour mincir sans rien faire !

Si vous craignez que cela soit dangereux pour la santé je vous conseille de jeter un œil aux 10 idées fausses les plus répandues sur le sujet vous pourriez bien apprendre 2-3 trucs. 😉

Voici donc, après un mois de pratique de cette forme de jeûne intermittent mon bilan complet :

• Les mesures

Les photos avant/après ne sont peut-être pas très flagrantes et je ne me pèse pas, car le poids n’est pas pertinent en soi si je compte gagner du muscle (plus lourd que la graisse) en faisant plus de sport.

Cependant voici les mesures que je prends chaque lundi, toujours prises au plus large, depuis le début de l’année :

  • 2011-12-05 : hanches au nombril (103,4 cm) – fesses (108,4 cm(je saute mon petit-déjeûner, break-fast à midi)
  • 2011-12-12 : hanches au nombril (103,5 cm ) – fesses (109,2 cm )
  • 2011-12-19 : hanches au nombril (103,1 cm ) – fesses (108,5 cm ) (adaptation break-fast à 13h30)
  • 2011-12-26 : hanches au nombril (101,8 cm !!! ) – fesses (108,0 cm ) (adaptation break-fast à 15h00 / post repas de Noël)
  • 2012-01-02 : hanches au nombril (102,9 cm) – fesses (107,9 cm) (1er réel jour de Fast-5 avec break-fast à 17h00)
  • 2012-01-09 : hanches au nombril (101,9 cm) – fesses (107,7 cm) (1ere sem de Fast-5)
  • 2012-01-16 : hanches au nombril (100 cm) – fesses (106,7 cm) (2e sem de Fast-5)
  • 2012-01-23 : hanches au nombril (101,3 cm) – fesses (107,5 cm) (3e sem de Fast-5)
  • 2012-01-30 : hanches au nombril (100 cm) – fesses (105 cm) (4e sem de Fast-5 / 1 mois)
  • 2012-02-06 : hanches au nombril (99,3 cm) – fesses (106,4 cm) (5e sem de Fast-5)

C’est donc un franc succès, progressif, en douceur, qui annonce un beau résultat pour les mois à venir.

En revanche je vais avoir du mal à m’affiner au niveau des chevilles avec les compliments de plus en plus nombreux que je reçois sur mon physique en cours de transformation. :3

Je suis pas peu fier il faut dire d’avoir respecté, presque à 100% mon programme… presque…

• 3 écarts dont un délibéré

L’étrange remontée à 101,3 cm de tour de taille le 23 janvier peut venir de nombreuses causes (rétention d’eau, gonflement du à la fatigue, etc.), mais très honnêtement ce lundi-là faisait suite à un week-end festif ou j’ai volontairement brisé mon jeûne le samedi midi.

Nous célébrions un mariage dans le sud de la Nouvelle-Calédonie et un délicieux bougna (plat traditionnel kanak) nous a été servi, je n’ai pas résisté et je ne le regrette pas !  🙂

Deux autres écarts ont eu lieu avant celui-ci, un ou j’ai mangé à midi et un autre à 15h30.

Ces deux fois-ci j’avais mal dormi la veille et je me suis retrouvé dans un état de fatigue avancé ou, fébrile, je me sentais en proie à ce que j’appelle maintenant la « faim totale ».

Une faim qui ne consiste pas en un simple estomac vide qui gargouille un peu, mais une faim qui prend dans les membres, qui réclame du corps entier et presque en tremblotant quelque chose à ingurgiter.

Après avoir connu cette sensation je peux vous assurer que je rigole bien maintenant de la sensation de faim « classique » qui avait auparavant un pouvoir total sur moi.

• Est-ce difficile ?

Je ne vais pas vous mentir, les premiers jours n’ont pas été évidents, et c’est avec un certain choc que j’ai dû reconnaître avoir été totalement obsédé par la bouffe quand s’ouvrait ma fenêtre alimentaire.

Mais au bout de 2 semaines et demie mon corps s’est très bien adapté.

Aujourd’hui je me sens carrément bien, léger, énergique et motivé au point que je pourrais faire du Fast-5 un réel mode de vie permanent.

Nous verrons bien, mais pour le moment je ne pense pas que je m’arrêterais en juin 2012 finalement. 🙂

• Qu’est-ce que je mange ?

Que du plaisir !

J’apprends petit à petit à mieux manger, c’est à dire pas de produits céréaliers (pain, pâtes, riz) ni sucre raffiné durant la semaine, mais je me lâche le week-end.

Rien que dimanche dernier par exemple je me suis fait grave plaisir en mangeant deux pizzas et quatre (4 !) crèmes brûlées !

Oui, on peut tricher et mincir ! 😀

• Et l’exercice physique ?

Rien de très conséquent pour le moment. J’avais pris l’habitude de faire un peu de yoga tous les matins, habitude un peu perdue et en cours de re-calibrage. 😉

Autrement, mon association ayant repris ses activités j’ai pu suivre quatre cours de capoeira dont deux totalement à jeun. Impec.

• Devriez-vous vous y mettre ?

Eh bien mon enthousiasme peut se sentir, mais je ne me permettrais pas d’affirmer que ce style d’alimentation conviendrait à tout le monde.

Mais si comme moi vous avez été en surpoids pendant longtemps et que vous désespérez de trouver une solution, le Fast-5, ou autre méthode de jeûne intermittent, pourrait bien être une solution efficace… et ultra simple !

Evidemment, ne faites rien de stupide, restez attentif aux réactions de votre corps et n’hésitez surtout pas à demander l’avis de votre médecin.

 

Certains d’entre vous ont aussi déjà expérimenté de nouvelles choses dans leur alimentation.

Qu’avez-vous essayé ? Ou en êtes-vous ? Quels en sont les résultats aujourd’hui ?

10 idées fausses sur la nutrition (que vous avez certainement alimenté)

Tout le monde n’a ni l’envie ni le temps d’étudier la diététique. Et pourtant…

…nous sommes nombreux à répéter de bons conseils sur le sujet qui nous ont auparavant été donnés par de prétendus spécialistes, des sportifs, notre maman ou nos potes… de bons conseils… la plupart du temps erronés !

Une fois n’est pas coutume, le billet d’aujourd’hui n’est pas à 100% de moi. C’est le résumé d’un article original de Martin Berkhan, un coach sportif adepte du jeûne intermittent et au physique photoshoppé (okay je suis juste jaloux).

Les informations qu’il y développe me semblent tellement importantes et à contre-courant que je me devais de les partager avec vous.

Si vous avez un bon moment devant vous je vous encourage à lire l’article original en anglais, ou bien sa traduction française complète sur le forum All Musculation.

Pour ceux qui n’ont pas le temps de se plonger dans une longue lecture, j’ai voulu en faire ici le résumé le plus concis possible.

Le top 10 des idées fausses sur l’alimentation :

1 – Manger plus fréquemment booste le métabolisme

Chaque fois que l’on mange, notre métabolisme est stimulé, car il faut de l’énergie pour absorber de l’énergie.

Se basant sur cet apparent paradoxe biologique beaucoup « d’experts » préconisent de grignoter tout au long de la journée pour conserver notre corps dans un état de combustion interne.

Cependant les études prouvent qu’au bout de 24 heures aucune différence en dépense énergétique d’absorption n’a été constatée entre ceux qui mangent 3 fois, 6 fois voire 9 fois par jour.

Eh non, on ne peut pas tricher avec notre corps : manger plus ne fait pas brûler plus de calories.

 2 – Des petits repas pris plus souvent aident à contrôler la faim

Cette affirmation provient en fait d’études aux protocoles de recherche très éloignés d’un train de vie réaliste. La fréquence optimale de repas journaliers est une chose totalement subjective qui se découvre idéalement par l’expérimentation personnelle, en fonction du mode de vie de chacun.

Contrairement à cette déclaration d’ailleurs, de nombreux pratiquants du jeûne intermittent, moi y compris, trouvent que la sensation de faim diminue lorsque l’on mange moins.

3 – Plusieurs petits repas équilibrent le taux de sucre sanguin

Notre cerveau a besoin de glucose pour fonctionner. De ce fait beaucoup ont pensé qu’il était nécessaire de manger très régulièrement pour conserver un taux de sucre minimal et éviter de finir comme des larves décérébrées.

Pas étonnant avec tout ce que tu t’empiffres comme sucre…

Contrairement à ce que l’on peut penser, le taux de sucre sanguin des personnes en bonne santé et non-diabétiques est très stable. Il ne danse pas à longueur de journée et ne va pas se mettre à chuter brutalement si l’on passe quelques heures sans manger… ni même une journée… ni même une semaine à vrai dire car à partir de 84 heures de jeûne le cerveau s’adapte et utilise tout aussi efficacement les corps cétoniques (issus des réserves de graisse).

Imaginez les conséquences dans l’évolution de l’espèce humaine si nous devenions stupides dès que nous devions traverser un paysage sans fruits ni gibier !

L’hypoglycémie véritable, tel que le rappelle le Dr.Herring dans son livre numérique gratuit « Fast-5 » est beaucoup plus rare qu’on ne le pense.

4 – Quand on jeûne le corps passe en « mode famine »

Même argument que pour l’idée fausse précédente. Une période de moins d’une semaine sans nourriture ne mérite pas d’être appelée famine (1st World Problems…) et ne ralentit pas le métabolisme.

A l’inverse même, après 36 heures de jeûne,  la sécrétion d’épinéphrine et de norépinéphrine augmentent de manière importante ce qui aiguise nos perceptions et nous donnent l’envie d’être actif, ce qui tombait bien pour nos ancêtres qui devaient partir chasser plusieurs jours durant.

 5 – Il faut manger toutes les 3 heures car le corps ne peut absorber que 30 g de protéines à la fois

Voici un mythe très répandu dans la communauté des body-builders que vous verrez souvent accrochés à leurs shakes protéinés et leurs huit repas quotidiens à base de viandes et d’œufs.

Si il était exact que le corps ne pouvait absorber que 30 g de protéine par repas notre corps n’aurait pas pu se construire jusqu’à aujourd’hui.

La vérité est qu’ingérer plus de protéines prendra simplement plus de temps pour les digérer et les utiliser.

La digestion d’un repas « standard » (avec carbohydrates et produits raffinés) est encore incomplète 5 heures après. Les acides aminés continuent encore à être libérés dans le flux sanguin et absorbés par les muscles.

Dans le cadre d’une alimentation saine, pleine de fibres et bien protéiné, la digestion véritable prendra encore plus de temps pour s’accomplir.

6- Quand on jeûne le corps cannibalise les muscles

Ce phénomène, appelé catabolisme musculaire, se produit lorsque s’épuise le stock de glycogène dans le foie. C’est un processus progressif et qui nécessite une sacrée période de jeûne véritable (revoir les points précédents) avant de devenir véritablement dangereux.

Les moyens d’éviter ceci sont très simples :

  • Pratiquer une activité physique régulière
  • Avoir une alimentation de qualité, riche en protéines
  • Préférer des périodes jeûnes courts (moins d’une semaine)

A noter que de plus en plus d’études relèvent que le jeûne intermittent augmente la production d’hormones de croissance, ce qui évite ainsi l’atrophie des muscles et contribue même à leur développement !

7- Sauter le petit-déjeûner fait grossir

En fait les « études » qui supportent cette croyance relèvent le fait que la majorité des personnes qui sautent leur petit-déjeuner ont tendance à avoir une hygiène de vie médiocre avec une pauvre qualité de sommeil et des journées pleines de stress « consolées » par le grignotage intempestif de snacks industriels.

Un argument scientifique plus pertinent qui entretien ce mythe est le fait que nous soyons plus sensible à l’insuline le matin. Celle-ci étant alors plus active dans sa régulation du sucre sanguin, elle empêcherait plus efficacement le stockage de ces sucres sous forme de gras, et donc permettrait une transformation plus profitable des nutriments en énergie.

La vérité, c’est que notre sensibilité à l’insuline augmente tout simplement après une période de jeûne, que celle-ci se déroule durant la nuit (quand nous dormons) ou durant la journée.

Là encore, le jeûne intermittent, a pu aider de nombreuses personnes (dont certains diabétiques) à réguler leur sensibilité à l’insuline sur le long terme.

8- Jeûner augmente votre taux de cortisol (et donc vous rendra gros)

Le cortisol, « l’hormone du stress », a pour rôle d’élever le taux de sucre dans le sang (pour faire simple). Il est connu pour générer un tas de troubles médicaux en cas de sécrétion abusive et à de ce fait gagné une sale réputation.

Nulle raison de s’inquiéter cependant, les jeûnes courts n’ont aucune incidence sur cette hormone, ainsi que l’ont prouvé des études réalisées sur les pratiquants du Ramadan.

9- Surtout ne jamais faire d’exercice à jeun !

Même réponse qu’aux idées fausses précédentes.

Si ce sont vos performances qui vous inquiètent, sachez que votre force et votre endurance ne seront pas affectés avant au moins 3 jours de jeûne.

10- « Il faut manger comme un roi le matin, comme un prince le midi, et comme un mendiant le soir. »

« Pas de féculents (carbohydrates) le soir ! » vient souvent en précision.

Parce que, vous savez, tout ça part directement en stock de graisse puisqu’on est inactif quand on dort. Contre-intuitivement (lien article précédent) cependant une étude  intéressante a noté que ceux qui s’alimentent (sainement évidemment) le soir avaient tendance à perdre davantage de masse graisseuse que ceux qui se nourrissent le matin.

Il devient de plus en plus admis que les êtres humains seraient des mangeurs nocturnes !

Pendant des milliers d’années, nous chassions et cueillions la journée, puis nous réunissions le tout en soirée afin de se nourrir en tribu. De nombreux peuples indigènes d’Amérique du Sud, d’Australie et d’Afrique vivent encore de cette façon aujourd’hui.

Mais vous pensez bien que se nourrir une fois par jour, et si possible le soir avec ses proches, va totalement à l’encontre des intérêts industriels et commerciaux…

J’espère que ce résumé vous aura donné envie d’approfondir le sujet en lisant l’article original en anglais, ou sa traduction en français. Vous y trouverez bien plus de détails et de références contrairement à mon blog qui ne se revendique aucunement scientifique.

Si vous avez appris 2-3 trucs grâce à cet article faites-en donc profiter vos amis en le partageant sur vos réseaux sociaux préférés. 😉

Y aurait-il  d’autres mythes alimentaires communs dont vous avez constaté la fausseté ? 

Connaissez-vous le minimalisme alimentaire ? (mon nouveau défi pour 2012)

Les premiers hommes vivaient ainsi car ils ne connaissaient ni l’élevage ni l’agriculture.

Plus tard, les dévots le pratiquaient pour se purifier et se rapprocher de leurs dieux.

Aujourd’hui, un nombre croissant d’occidentaux le redécouvrent et en tirent des bienfaits aussi variés qu’une perte de poids durable et une longévité scientifiquement prouvée…

• Le minimalisme alimentaire : le jeûne intermittent

Définition :

• Jeûne : période d’abstention alimentaire volontaire = ni manger ni boire quoique ce soit de calorique.

• Intermittent : de manière épisodique, sur des durées relativement courtes.

Sauter un repas est donc une forme simple de jeûne intermittent, bien que les jeûnes les plus efficaces requièrent une durée de 16 à 24 heures.

Le jeûne que je pratique est appelé Fast-5, et vous pouvez télécharger un livre numérique GRATUIT et complet par l’auteur de cette méthode ici même : www.fast-5.com

Je vous le résume cependant en deux phrases :

  1. Il s’agit de manger à volonté… uniquement dans une fenêtre régulière de 5 heures toutes les 24 heures.
  2. En dehors de ces 5 heures ou tout est permis, aucune calorie ne doit être ingérée. Sont donc uniquement autorisés l’eau (et en quantité !), le thé et le café (sans sucre évidemment).

• Mais pourquoi tu fais ça ?!

Car comme beaucoup de monde je suis un obsédé de la bouffe.

Car comme un nombre croissant d’occidentaux je suis en surpoids, depuis plus d’une dizaine d’années, et je refuse de continuer ainsi !

J’ai donc cherché, et trouvé par le Fast-5, un moyen à long terme de changer mes habitudes alimentaires pour arriver à réussir mon défi qui est le suivant :

En juin 2012, je serais passé de 104 cm à 94 cm de tour de taille, en optimisant mon alimentation (par le jeûne intermittent et un choix de nourriture de qualité) et en augmentant mes exercices physiques.

• Est-ce vraiment bon pour la santé ?

Les bénéfices du jeûne intermittent semblent impressionnants et sont corroborés par de nombreux pratiquants :

  • une perte de gras assez rapide (500 g par semaine en moyenne)
  • une stabilisation de l’insuline, bénéfique pour les diabétiques et qui empêche la reprise de poids typique des régimes yo-yo
  • une réduction de la pression sanguine
  • une sensation de faim diminuée sur le long terme
  • une attirance accrue pour la nourriture saine
  • une énergie croissante au quotidien
  • une sensation de clarté mentale inégalée
  • une longévité assurée grâce au principe de Restriction Calorique

Que de belles promesses !

Sont-elles vraies ?

Comme toujours, il n’y a qu’une seule façon de le vérifier : essayer par soi-même !

Voici pourquoi après avoir relaté mon chemin vers la simplicité matérielle, ce blog servira maintenant également à suivre mon Raccourci Minimaliste vers la minceur, la santé et la vitalité !

Je suis persuadé que vous avez de nombreuses questions et arguments sur le sujet du jeûne intermittent. Je compte bien en parler donc dans les semaines qui suivent mais en attendant je ne saurais  que trop vous conseiller de faire vos propres recherches sur le sujet, en français, ou en anglais sous le terme « Intermittent Fasting ».

Je suis également persuadé qu’il se trouve parmi vous des pratiquants du jeûne volontaire, sous quelque forme que ce soit.

Ce serait en ce cas un plaisir que d’avoir ci-bas votre petit témoignage sur votre expérience.

Quelle méthode avez-vous ou pratiquez-vous encore aujourd’hui ?

Comment l’avez-vous découverte ?

Qu’est-ce que cela vous apporte ?

Au plaisir de vous lire !

Le minimalisme n’a jamais été aussi fun !

Quand les gens apprennent que j’ai choisi de vivre avec moins de 100 objets (bon d’accord ce n’est plus d’actualité), une réaction revient fréquemment :

« Ah ? Moi je pourrais jamais ! »

Jamais… comme si la chose relevait d’une impossibilité physique alors même qu’une part importante de l’humanité vit avec bien moins de 100 possessions.

Et de là le lien est très vite fait : le dépouillement, dans l’esprit populaire, c’est pour les pauvres… ceux qui ne peuvent faire autrement, ou pour ceux qui n’aiment pas vraiment vivre et préfèrent la mortification quotidienne.

Sérieusement ?

Vous pensez vraiment qu’un mec comme moi choisirait un mode de vie qui va à l’encontre des valeurs de ce blog ?

Liberté, Richesse, Sécurité… et FUN !

Vivre en mode minimaliste est amusant.

Amusant et bigrement intéressant !

Jusqu’où devrais-je aller ? Jusqu’où puis-je aller ?

Sans aspirer à vivre avec le nombre assez radical de 100 objets (ce qui n’est pas approprié à tous les cas), vous êtes tout de même nombreux à être intéressés, ne serait-ce qu’intellectuellement, par la démarche minimaliste.

Et la plupart du temps, avouez-le, vous savez que vous vous sentiriez mieux dans un environnement plus épuré, désencombré.

Mais vous procrastinez pour vous débarrasser de tout ce qui vous encombre, ou vous vous inquiétez outre mesure sur les bons choix… jeter ou garder ? Comment faire le juste choix ?

36 solutions amusantes pour agir

Bonne nouvelle pour tous ! Ma copine Joanne Tatham de Vie Simple vient de publier son premier guide numérique destiné à tous ceux qui ne savent pas comment entamer leur désencombrement.

(Cliquez sur l’image pour tout savoir !)

 

Ce que j’ai particulièrement apprécié, outre le style agréable de Joanne, c’est l’aspect vraiment ludique de ces astuces.

Seul ou en famille, vous trouverez dans ce livre numérique de nombreuses idées pour faire du désencombrement de véritables jeux qui vous permettront tout aussi bien de simplifier votre vie que de vous faire réaliser certaines choses sur vous-même…

Vous pourriez être étonné de vous retrouver à vous débarrasser enfin d’objets que vous ne penseriez jamais jeter, et en conserver d’autres que vous auriez pu oublier à travers le temps, tout en redécouvrant leur vraie valeur. 🙂

Une voie ludique vers un minimalisme conscient et personnalisé. 

Ah, et comme je me suis promis d’être toujours transparent auprès de mes lecteurs, sachez que si vous commandez cet e-book (€ 12 seulement avant le 4 janvier 2012 !) je toucherais 50% sur chaque vente réalisée en partant depuis Raccourci Minimaliste.

Eh oui, on est comme ça entre blogueurs, toujours dans une optique gagnant-gagnant. 😉

Bonne lecture à vous, vous ne le regrettez pas, et on se donne rendez-vous sur le blog de Joanne pour en parler et pour la féliciter. 🙂

Survivalise minimaliste

Peut-on être minimaliste ET survivaliste ? (et que vient faire Bob là dedans ?!)

Survivalise minimaliste

A vrai dire tout dépend des cas, du lieu d’habitation, du pays, des ressources disponibles ou non en cas de catastrophe. Dans ma situation, je me suis rendu compte que pour augmenter mes éventuelles chances de survie, mieux vaut n’avoir qu’un minimum de possessions matérielles.

Mais soyons plus précis…

• Un survivaliste, c’est quelqu’un qui veut… survivre ?

Oui. Si possible à toutes formes de dangers quotidiens et urbains.

Mais aussi à la fin du monde. Tel que nous le connaissons. Continue reading « Peut-on être minimaliste ET survivaliste ? (et que vient faire Bob là dedans ?!) »