Le plus beau cadeau – Lettre Privée d’août 2013

Au sommaire  :

– Zoom sur : « La Grève – Atlas Shrugged » d’Ayn Rand

La Grève, second livre le plus vendu aux USA après la Bible et ouvrage polémique au point de n’avoir été traduit en français que 54 ans après sa publication originale (publié en 1957 aux USA).

Plus que jamais d’actualité en temps de crise économique et de capitalisme néo-libéraliste corrompu, « La Grève » est un roman philosophique et politique qui va à l’encontre des clichés habituels des divertissements populaires. Ayn Rand y expose au fil d’une intrigue palpitante les grands principes de la philosophie Objectiviste qui a le mérite de remettre en question pas mal de nos conditionnements sociaux.

Bien qu’étant personnellement très touché par la philosophie d’Ayn Rand ma critique restera la plus objective (haha !) possible et vous révélera les nombreux défauts auxquels s’attendre à la lecture de ce livre.

– Article exclusif : Le plus beau cadeau

De tout ce que nous pouvons faire pour affirmer à autrui (et à soi-même !) l’importance que nous leur accordons, quel pourrait-être le plus bel acte ?

Un objet physique spécial ? Un événement particulier ?

Quel est le plus beau cadeau que vous puissiez offrir et vous faire dans cette quête du bonheur que nous partageons tous ?

Vous y découvrirez ma réflexion, en accord avec la philosophie minimaliste… et objectiviste ! 🙂

 

Cette Lettre Privée est déjà partie !

Cliquez ICI si vous voulez tout de même la lire !

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2 Replies to “Le plus beau cadeau – Lettre Privée d’août 2013”

  1. Tu écris toujours aussi bien. Je ne reviendrais pas sur les vertus de l’égoïsme comme principal moteur de l’action individuel. Je suis d’accord et tous ceux qui ont un cerveau irrigué le sont également.
    Par contre, j’ai du mal à comprendre pourquoi le fait d’avoir des espérances vis-à-vis de l’avenir et des gens serait en contradiction. Désirer pour soi, c’est le propre de l’égoïsme et l’unique vraie source de bonheur. Or, je me demande s’il peut y avoir de vraies satisfactions sans une part de sacrifice et de public. À quoi sert la liberté, si l’on est « seul » à la savourer sans construire la moindre attache. C’est difficile à exprimer, mais je pense qu’il y a une vraie jouissance et un confort individuel dans la dépendance (aux choses ou aux gens).
    Je te salue depuis ma cage et te souhaite bon voyage en liberté. Te lire est toujours un plaisir.

    1. Salut Philippe, merci pour ton commentaire et ses compliments.

      Je ne suis pas bien certain de bien saisir les questions que tu poses ici.
      Dans l’égoïsme authentique il n’est aucunement question de sacrifice, ni pour soi ni à demander à qui que ce soit.
      Pas de notion non plus d’isolement. Nous sommes des animaux sociaux et comme je l’indique dans la Lettre Privée nous sommes programmés pour la « bonté » (la coopération est plus exact), il en va de notre survie.

      Peut-être devrais-t’on définir plus précisément la différence entre l’idée d’attachement et celle de valeur. Si j’accorde de la valeur à un individu je peux m’y sentir attaché. Cela me donne d’autant plus de raison de ne pas l’attacher à moi, par manipulations ou par menaces implicites comme il se fait trop souvent…

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